One Piece ~ Evolution V2
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 Shi Ne sa travaille sa travaille

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AuteurMessage
Shi Ne
Adolescent
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Shi Ne

Messages : 15
Date d'inscription : 12/07/2012

Caractéristiques
Riyals:
Shi Ne sa travaille sa travaille Left_bar_bleue10/10Shi Ne sa travaille sa travaille Empty_bar_bleue  (10/10)
Prime: Aucune
Fruit du Démon: Aucun

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MessageSujet: Shi Ne sa travaille sa travaille   Shi Ne sa travaille sa travaille EmptyDim 15 Juil - 6:17

Shi Ne

AVATAR

Information Général :

Surnom :
Date de Naissance :inconnue
Âge :Environ 15 ans
Fonction (Pirate, Marine, etc) :Esclave
Rang (Bretteur, Musicien, Colonel, etc) : Musicienne
Arme(s) (Une maximum, sauf exception) :Aucune
Fruit du démon :Aucun

Une beauté fatale ou une monstruosité ?

Je suis une jeune fille de taille normale pour mon âge, bien qu’un peu maigre. Mesurant environ 1 mètre 45 pour à peine 38 kilos. Jeune et frêle, c’est ce que je suis. Et oui, je ne suis absolument pas sportive, une adolescente normal sans capacité physique particulière en dehors d’une bonne capacité a ordonnée mes mouvement. Et d’une bonne endurance. Et oui, lorsque l’on est dans ma situation il faut en avoir une bonne d’endurance, sinon, c’est la mort assuré.

Je possède donc des cheveux verts, pas trop long, tombant jusque ma nuque, suffisamment long pour cacher mes yeux. Attacher a l’arrière une barrette blanche en os formée de six branche se relevant peu à peu vers le ciel, à l’avant, deux barrettes rouges, écartant des mèche afin de laisser mon œil gauche voir le monde. En parlant de ses yeux, surplombé par de fin sourcil noir, leurs rouge contraste fortement avec ma couleur de cheveux mais finit en général, par s’accorder avec les vêtements que je porte. Dans le dos, je possède un immense tatouage, la marque des tenryuubito marquant le début de mon esclavage. Marquant aussi la fin de ma liberté. Cette marque me suit depuis plusieurs années et ne se ternit pas. Je ne possède pas de cicatrice mais, un autre tatouage, formant une paire de menotte sur le côté gauche de mon cou marquant mon appartenance a mon équipage. Enfin une appartenance. J’appartiens au capitaine de l’équipage.

Niveau vêtement, comme je l’ai déjà dis un peu plus haut, cela s’accorde avec la couleur des mes cheveux et de mes yeux. En commençant par le cou, je porte bien entendue le collier des esclaves pouvant me tuer à n’importe qu’elle moment. Ce collier est cacher par un protège cou de couleur beige pouvant remonter jusque mon nez en cas de grand vent, fumée ou autre. En plus de ce cache nez, je porte un simple collier représentant une feuille en bois rouge retenus par une simple ficelle. Pour le reste, je porte un débardeur vert herbe, de la même couleur que mon pantalon en tissus souple. Par au dessus, je porte un kimono beige largement ouvert en haut et retenus par deux bretelle rouge aux fixations dorée. Le kimono est lui-même fermée par une ceinture de tissus rouge a l’accroche elle aussi dorée. Par habitude, je ne porte aucune chaussure préférant largement marcher pied nue. De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix. Je possède au total, deux exemplaires de ces tenus offerts par mon propriétaire pour bonne conduite. De plus, je porte un violon de qualité basique que j'accroche dans mon dos grâce a la ceinture de tissus ainsi que l'archer.

Un psychopathe ou un pacifique ?

Je suis qu’une petite fille, gentille, obéissante, qui ne se rebelle pas. La violence n’est pas de mon ressort, personnellement, je préfère de loin rester loin des bagarres. Et oui, je ne suis pas une combattante, simplement une personne sans importance qui joue du violon. Oui, en faite je peux jouer un peu toute sorte d’instrument plus ou moins bien. Après tout, lorsque l’on connait les bases, on peut à peu près tout faire. Mais ce que je préfère, c’est le violon. Oui, les douces notes produite par cette instrument, si merveilleuse, si intense. Je pourrais en jouer des dizaines d’heure d’affiler sans jamais m’en lasser. Sans interruption, en oubliant même de manger.
Oui, manger, une chose qui n’est pas vraiment une passion pour moi. Manger signifie continuer à vivre, continuer à vivre signifie continuer à souffrir. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’une esclave n’a pas le droit de profiter des bonnes choses. Lorsque je mange en général c’est qu’on me l’ordonne, parfois, il m’arrive de vouloir continuer et de manger par moi même. Etant obéissante je n’ai pas vraiment de problème avec l’équipage. On me demande quelque chose, je le fais, c’est tout. Au final, lorsque l’on est esclaves, on ne fait plus vraiment attention à ce qui est demandé. Si l’on ne le fait pas, cela finit en général très mal, pour l’esclave… C’est une habitude à prendre mais, lorsque l’on a cette habitude, cela ne pose plus aucun problème. Résultat, je ne montre que très rarement ce que je ressens, gardant un visage légèrement triste en permanence, je ne pleure quasiment jamais, du moins pas devant les autres. Dans le monde dans lequel je vie, les larmes sont une faiblesse qu’il ne faut pas montrer. Si l’on pleure, les gens autours de nous sont simplement encore plus implacables.

Une personne ma dis un jour de profiter de tout ce que je pouvais, n’importe qu’elle petit plaisir. De prendre la vie comme elle vient, au fur et a mesure et de ne pas se détruire soit même en se lamentant sur son sort. Cette homme ma aussi dis que dans al vie on ne fait pas toujours ce que l’on veut mais, que dans les contrainte, on finit toujours par trouver le bonheur. Cet homme est mort en souriant. Désormais je vie donc celons ces principes la, afin de supporter tout ce qui m’arrive. Je prends donc la vie comme elle vient, profitant de tout ce que je peux. Tout ce que j’aime. Et repoussant, dans un coin de ma tête tout ce que je n’aime pas. Que ce soit la violence, la douleur, les morts, les combat, les araignées, les vers, les boite de conserve, les poireaux, les belles mères.

Un passé douloureux ou joyeux ?




La ou commence véritablement mon histoire, est un jour de soleil, au bord de la plage sur une île de Grand Line. Une île dont je ne me souviens même plus du nom. Ce n’est pas vraiment le genre de chose dont je me préoccupais à l’époque. Ce fameux jours ou j’ai quitté, sans le faire exprès mon île. Et ma famille.

J’étais debout sur la plage, seul, une douce brise soufflant sur mon visage. Tranquillement, je jouais du violon. Un vieux violon, de base, pourtant, je parvenais à en tirer un son acceptable. A 8 ans, cela faisait déjà trois ans que mes parents m’apprenaient à jouer. J’adorais sa mais je commençais tout juste à m’en sortir correctement. A la grande joie de mes parents. Maintenant, je ‘m’entrainais en secret afin de leur préparer une surprise. C’était donc au milieu d’une des musique que je préféré, j’entendis des bruit de pas derrière moi. Souriante, je me retournais en pensant voir l’un de mes amis. Et c’est avec stupéfaction que j’arrêtais brutalement de jouer. En face de moi, deux hommes, robuste, mal rasé, l’un tenant un sabre dans la main, l’autre une corde. Bouche bée je ne réagis même pas lorsqu’ils me sautèrent dessus. Trente seconde plus tard, je me retrouvée ficelée comme un saucisson, sur l’épaule d’un des deux hommes puant l’alcool. Je ne comprenais rien à ce qui m’arrivais, mon violon étais resté sur le sol, j’avais reçu un coup dans le ventre au passage. Je hurlais. Un coup à la base de ma nuque me fit taire et je m’enfonçais dans les ténèbres de l’inconscience.

Je me réveillais dans un endroit sombre, une cale de navire comme me l’apprit le voisin. Prisonnière, destiné à être vendue comme esclave. Triste sort, mais, malheureusement, ou heureusement, je ne comprenais rien. Qu’est-ce qu’une esclave ? C’est ce que je me demandais à ce moment la. Mais la question ne fut pas répondue. D’après certain, il valait mieux que j’en ignore le sens pour le moment, que je me contente d’obéir aux adultes. Que ce serait mieux pour ma santé si je voulais vivre. Je hochais la tête. Je passais la plupart de mon voyage attaché au fond de la cale par une lourde chaine de fer. Nourrit deux fois par jour de gruaux, tout juste de quoi remplir mon estomac. C’était une expérience nouvelle pour moi et, pour le moins désagréable. J’avais subit un interrogatoire poussé sur tout ce que je savais faire. Ce qui se résumé globalement au violon. Je ne parlais presque pas intimidé par ces adultes imposant je ne faisais que hocher la tête. Plusieurs jours plus tard, on me fit jouer du violon, je ne compris pas pourquoi mais je m’exécuter. Cela ne dura qu’une dizaine de minute, une dizaine de minutes pendant lequel je me sentais libre. La liberté fournit par la musique. Une liberté rare et précieuse.

Le trajet dura environs un mois. Un mois sans rien faire, sans musique. En pouvant à peine bouger. Ne voyant que rarement le soleil, permission de quelque minute par jour pour prendre l’air. Des minutes précieuses que j’attendais toujours. Un moyen comme un autre de savoir le temps qui passe. Mais aussi de ne pas déprimer. A la fin de ce trajet interminable, nous arrivions sur une île immense plein d’arbre. Je n’eus pas vraiment le temps d’admirer ce paysage inconnu. Enchainer, je me retrouvée rapidement enfermé dans une sorte de grand entrepôt dans lequel on s’occupa de moi. La première chose fus de me mettre un collier autours du cou afin que je ne fui pas. Celui-ci me tuant si je tentais de le faire, il valait mieux que je m’en abstienne. La deuxième chose, fus de me tatouer le dos. Le tatouage des tenryuubito, signe que j’étais un esclave, une marque qui resterait pour toujours. Mais cela, je n’en étais pas consciente à ce moment la.

Il fallut que j’attende un long moment, assise sur un banc de bois, endormis, sans comprendre ce qui se passait. Tout ce que je savais, c’est que certaine personne partait dans une autre pièce, et ne revenait jamais. Je dormais, du sommeil d’une enfant a qui l’on a fais subir des choses éprouvante. Un mois passer dans une cale, un tatouage, c’était trop pour moi. Surtout que les tatouages ne se faisaient pas sans douleurs. Je préférais encore dormir. J’attendis plusieurs heures, deux, trois, voir cinq, qui sait. Ceux de dehors sans aucun doute. J’étais une des dernières présentes lorsque deux hommes m’attrapèrent et m’emmenèrent à mon tour. Une porte, deux portes, un rideau et plein de gens. Impressionnée, je restais muette, de toute façon, je n’avais pas le droit a la parole. Plusieurs mains se levèrent, proposant certaine chose. Des Berry à ce que je comprenais, beaucoup. Beaucoup trop pour que je puisse comprendre. Il faut dire que je ne savais pas compter au dessus de vingt donc de base, j’étais complètement perdue. Après plusieurs minutes on m’emmena à nouveau, apparemment c’était finit. Deux autres hommes me saisirent et me firent sortir. Enfin je revis le soleil. Désormais, j’appartenais à quelqu’un. Mais sa, je ne le compris que lorsqu’un homme bien habillé, bien rasé, avec un sabre à la ceinture ce pencha sur moi et dit.

- Maintenant tu m’appartiens, tu feras ce que je dis, tant que je le veux.


Bêtement, je hochais la tête pour signifier que j’avais compris. Une action que je n’aurais peut-être pas du faire, cela aurait pu changer quelque chose. Ou pas, je me le suis toujours demandé. Ces souvenirs sont très flous mais, c’est ainsi que commença ma nouvelle vie.


Être esclave, une tâche difficile pour une enfant de mon âge. On m’expliqua rapidement ce que l’on voulait de moi. Je devais jouer de la musique de temps en temps. Et obéir au reste de l’équipage. Si je ne protestais pas tout se passerait bien. Sinon… et bien l’inverse du bien. C’est ce que je m’efforçais de faire. On me donna un violon acheté rapidement dans un magasin. Mauvaise qualité. Mais je devais faire avec. On me força à monter sur un navire. Cela ne me disait rien mais, cette fois, on ne m’enferma pas dans la cale. De toute façon, je n’avais nulle part ou fuir, j’étais officiellement une esclave et, lorsque l’on serait partit en mer, ne sachant même pas nager. Il n’y avait aucune chance que je ne m’échappe. Je commençais à jouer.

Les années qui suivirent furent plutôt calme. Au début je râlais beaucoup lorsque l’on me demandait un effort physique à faire. Jouer tard dans la nuit ne me dérangeais absolument pas mais, faire des efforts. Si. Grande erreur de ma part. Cela me causa plus de problème qu’autre chose. Je devais obéir à tout et je devais dire que finir suspendue par les bras a quelque centimètre au dessus de l’eau n’était pas un plaisir personnelle. Après deux fois de cette expérience j’avais stoppé toute résistance inutile. Pourquoi souffrir lorsque l’on peut l’éviter. Bien sur les courbatures dus au reste ne me lâchèrent pas pendant plusieurs mois mais, c’était toujours mieux que de finir pendu au dessus de l’eau. Et je préféré être a ma place qu’à celle des hommes dans les cales pour qui je devais jouer de la musique. Enfermé jusqu’à la fin du trajet, ne pouvant profiter que de quelque minute d’air frai de temps en temps. Ils étaient revendus à d’autre homme. J’appris plus tard que la plupart aller mourir a force de travailler de force. J’appris plusieurs dizaines de chose, au bout de quatre ans je savais a peu près faire la cuisine ainsi qu’entretenir un navire. Des choses simples bien entendues pour ce qui concernait l’entretien. Je connaissais aussi les base de la navigation même si apparemment je n’avais aucun talent pour sa. J’étais au service de tout l’équipage et je me devais de leur obéir et de faire ce qu’ils me demandaient. Au final, ils étaient bien gentils tant que j’obéissais sans râler. Parfois même je parvenais à discuter avec eux, dans leurs moments de bonne humeur.

Tout ce passait bien pour moi. Pour une esclave j’étais relativement bien traité, j’apprenais beaucoup, jouais beaucoup de musique. Bien entendus, je subissais encore les accès de colère des gens de l’équipage toujours intraitable lorsque je ratais quelque chose. Une fausse note, un plat mal cuisiné, un coin du navire mal lavé. Plusieurs fois je failli retourner au dessus de l’eau mais, la plupart du temps. Recevais simplement de coup. Tout se passait donc bien jusqu’au moment ou le capitaine décida d’arrêter son commerce. Il avait soi-disant suffisamment d’argent et, pour finir il allait me vendre afin d’arrondir la somme. Tout allait donc ce finir, quelqu’un d’autre aller m’acheter et je me doutais bien que cela ne serait plus jamais pareil. Étrangement, j’accueillis la nouvelle avec froideur sans vraiment y prêter attention. Cela faisait un peu plus de cinq ans, peut-être six que j’étais a son service et, pourtant, il allait me vendre comme si de rien étais. Cela me donnais envie de soupirer.


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Prénom :Zian
Âge : 18 ans
Fille ou garçon : garçon
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Shi Ne sa travaille sa travaille

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