Le Royaume d'Illusia rien que d’y penser je détestais ce lieu, envahit de soldat protégeant les civil. Impossible de faire quoi que ce soit sans avoir à se battre avec toute une armée. Du coup je m’ennuyais, et par conséquent je faisais des expériences. Deux jours à peine que j’étais la et déjà j’avais trouvé le moyen d’emmerder le monde. Oui, mon corps pouvait produire, pour une raison que je ne connaissais pas, une quantité infinie de poison ou de liquide et de gaz nuisant à tout être vivant. Par conséquent, je m’appliquais à suer de l’acide à grosse doute partout ou j’aillais. Une façon comme un autre de faire chier mon monde discrètement. Ce que je voulais maintenant c’était boire et c’est avec cette raison en tête que je me m’étais à la recherche d’un établissement potable. Marchand tranquillement dans la rue, sans me presser. Il ne faisait pas spécialement chaud ce qui m’arrangeait parfaitement alors que je me promenais au milieu des marchands. Plusieurs fois, je touchais un objet la main emprunte d’acide l’examinais et le reposais en faisant mine de ne plus être intéressais. Je ne pourrais pas voir la tête des marchands lorsqu’ils constateraient que leur objet n’est plus vendable. Dommage. Mais rien que d’y penser j’en souriais.

Après plusieurs dizaines de minutes de se manège je trouvais enfin l’établissement rechercher. « À la fourchette farceuse ». Je haussais les sourcils en regardant le panneau qui annonçait le nom de l’établissement. Plutôt étrange j’avais envie de dire mais bon. Haussant les épaules, je pénétrais à l’intérieur du bâtiment. Bien éclairé, bien entretenus, bien fait. Il était bien. Bien que banal. Lentement, je me dirigeais vers le bar et commandais un jus de fruit. Oui, il ne m’aurait pas servis de l’alcool de toute façon. Cela irait contre les principes des barmans qui font soit disant attention à la jeunesse. Je me détournais de l’homme jovial qui venait de me servir et observer les clients. L’un d’entre eux, ou plutôt l’une d’entre elle, parce qu’il y avait aussi des clientes. Attira particulièrement mon attention. En effet, elle était vêtue d’une armure et à sa ceinture pendait deux lames. Je souris, attirer par cette personne. Non à cause de son physique, bien que ses longs cheveux rouge soit particulièrement magnifique. Mais plutôt par le faite qu’elle était différente. Et qui dit différent dit emmerdement. Qui dit emmerdement dit amusement. Et qui dit amusement, dit…. Amusement. Lentement, je m’approchais d’elle, passant derrière elle et fis couler de l’acide de mon gros orteille. Un trou se forma dans ma chaussure. Je contrôlais l’acide désormais sur le bois de façon à ce qu’il touche un pied de la chaise. Je n’étais qu’à quelque mètre. Trois grands maximums. Et personne ne le remarqua. Rapidement, l’acide rongea le bois comme si il s’agissait de termite. Il faut dire que je n’avais pas lésiné sur la concentration. D’un seul coup, le pied de chaise craqua faisant tomber la jeune femme à terre. Je m’approchais tranquillement, un sourire amusé aux lèvres et lui tendit un main moite d’acide afin de l’aider à se relever.

-Et beh, si lourde que tu casse les chaises ?

Autour de nous les gens riait, plus ou moins discrètement celons les personnes et, cela semblait déranger la jeune femme. C’était parfait. Après tout mon but était d’énerver les gens. Emmerder les gens. C’est tellement jouissif que je ne peux même pas m’en empêcher, comme si c’était une seconde nature chez moi. Comme celle de tuer et de torturer les autres d’ailleurs. Elle m’insultât, une insulte qui fit à peu près mouche puisque d’un coter elle avait parfaitement raison. Je serais sans aucun doute incapable de porter cette armure. Une armure que je jugeais de toute façon encombrante. Et depuis quand je parlais à mes aînées de cette façon ? Je décidais de lui répondre un léger sourire aux lèvres camouflant légèrement la vérité. Pour une fois mon père serait mort. Je m’approchais et dit d’une voix basse de façon à ce qu’elle seule puisse entendre. Elles seule et les meilleures oreilles.

-Ho oui, je ne porterais pas une armure aussi inutile qui gêne dans tous les mouvements. Et je parle comme sa depuis…. Depuis environs la mort de mon père tué par mes aînées.
A peine avais-je finis ma phrase qu’elle avait disparue. Je sursautais en regardant autours de moi, j’avais la même réaction que n’importe qui dans cette salle et à l’intérieur de mon esprit, je me disais qu’elle avait fui. Cela dura quelques minutes à la fin desquels elle réapparut, avec une nouvelle armure plus légère. Je me forçais à blêmir comme si je craignais le diable. Ce qu’elle pouvait être. Moi aussi je possédais un pouvoir mais, cela personne encore ne le savait. Enfin si, beaucoup de cadavre avait fini par le remarquer mais bon, un mort ne parle pas. La jeune femme semblait concentrer et soudain, de la lumière apparue sur la chaise. En peu de temps, le pied était réparer, plus lumineux, étrange. Ce n’était pas naturel. Confiante, la jeune femme redressa la chaise et s’assit dessus. A ma grande déception, elle ne céda pas. J’étais perplexes, je ne comprenais pas vraiment ce qu’elle venait de faire. Ou plutôt, qu’elle pouvoir elle possédait. Et elle parla de pouvoir, comme si elle savait que j’en possédais un. Pourtant, je feignis l’ignorance de façon parfaite en répliquant une phrase accompagné d’un petit rire.

-Posséder le pouvoir de casser les chaises ? He bah, c’est pas suffisant d’abîmer du matériel qui t’appartient pas ? Faut aussi que tu commences à accuser les autres pour te trouver une excuse pour être passer pour une idiote ? Tu empire les choses. Et après c’est moi qu’on traite de gamin…. Gamine.
J’avais tout lâché d’une traite, j’étais responsable du faite qu’elle était tombé, mais, cela personne ne le savait. Ce qui comptait, c’était les preuves, et elle n’en avait aucune. J’étais habitué à camoufler les preuves. Même à ne pas en laisser. Après tout, j’avais était élever de cette façon et je faisais partie d’une organisation ou cette maîtrise était nécessaire. Je regardais la jeune femme aux cheveux rouge un léger sourire méprisant aux lèvres.

Alalala, elle ne répliqua rien, la main posé sur son sabre je sentais qu’elle ne voulait qu’une chose, pointer son arme sur moi afin de me faire taire. Apparemment, elle n’appréciait pas d’être humilié et, malgré moi, je ne pouvais qu’avouer que j’appréciais mon publique. De plus, si elle m’agressait en publique, cette fois, j’aurais la loi pour moi, avec des dizaines de témoin pour m’aider. Il n’y a rien de plus merveilleux que d’être soutenus par de potentielles victimes. Soutenus par des hommes que je pourrais être amené à tuer sur ordre de mon organisation. Certes, il s’agissait là d’une option peu probable mais tout de même possible et intérieurement, j’en riais de plaisir. Un rire que personne d’autre que moi dans ce lieu n’aurait pu comprendre. Elle disparut à nouveau et je soupirais. Mon cœur n’arrivais pas à s’y habituer, à chaque fois qu’elle le faisait il se mettait à battre à tout rompre. C’était tellement… étrange. Elle ne restât pas absente longtemps revenant charger de son paquetage. Pas très conséquent je devais avouer. Elle payât apparemment bien plus que ce qu’elle devait à l’ origine. Pour la chaise d’après elle. Cela me fit sourire. Terminant rapidement mon verre, n’ayant plus rien à faire ici puisqu’elle était partit, je le posais sur le bar et payer le barman comme un bon petit civil. Après tout, la discrétion était de mise. Enfin la discrétion par rapport à l’autorité seulement.

Je sortis du bâtiment un léger sourire aux lèvres. Je n’avais aucunement prévue de retourner embêter la jeune femme mais lorsque je remarquais qu’elle n’était vraiment pas loin, je ne pus résister. Pourtant j’avais mis plusieurs minutes avant de sortir et elle était toujours là, assise sur un pont à attendre. A croire qu’elle ne cherchait qu’une chose. Que quelqu’un l’emmerde. Après tout il y a de tout dans le monde, des masochistes, des naïfs, des crétins, des raviolis, du papier toilette. Heu non, ça c’était ma liste des courses. En tout cas elle semblait vouloir qu’on l’emmerde. C’est en grande partie pour ça que je ne pus résister lorsque je passais, un sourire sarcastique aux lèvres.

-Stupide gamine.

Tout le long du trajet elle m’avait suivit du regard, je savais donc que rien ne lui avait échappé, une chose si magnifique de savoir ça. Je ne la regardais même pas en prononçant ma phrase, elle ne méritait même pas mon regard, se laisser embarquer si facilement… Ce qui faisais que mon insulte était parfaitement réaliste et que je l’avais prononcé du fond du cœur malgré notre différence d’âge.

Ce furent les mots de trop, j’avais peut-être poussé le bouchon un peu trop loin. Je n’eus même pas le temps de réagir, sans doute était-elle une combattante expérimentée. Une seconde plus tard, je me retrouvais suspendu au-dessus de l’eau. Position inconfortable surtout qu’elle me tenait à la gorge et que je parvenais à peine à respirer. Malheureusement, je ne savais vraiment pas nager par conséquent, par réflexe de survie, je m’accrochais à son poignet en tirant dessus tentant d’obtenir un peu d’air. Cela marcha, très légèrement. Elle parla me disant qu’elle allait enfin voir si je possédais un fruit du démon. Si je coulais. Je répondis donc par la plus grande logique que peuvent faire preuve tous les enfants de mon âge.

-C’est quoi un fruit du démon ?

Ma voix était cassée, je parvenais à peine à respirer et peu à peu, mon visage devenait rouge. Elle continuait de parler, encore et encore mais cette fois, je ne parvenais plus à répondre. Je n’avais plus assez d’air pour cela, peu à peu, des points noirs apparurent devant mes yeux alors que je la regardais furieux. Pas un instant je ne pensais à utiliser mes poison, je ne sais pas pourquoi. Cette idée ne germa pas dans mon esprit. Mes manches qui cachaient jusque maintenant le dos de mes mains tombèrent doucement jusque mes coudes. Large, c’était déjà étonnant qu’elles aient tenus jusque maintenant. Dans un bel ensemble, elles dévoilèrent les deux magnifiques pierres précieuses encastrées dans ma peau. Résultat du travail de mon père. Des pierres qui permettaient de voir l’intérieur de mon corps. Peu de gens parvenait à regarder sans frémir. Après tout, bien que les cicatrices soit propre, cela reste quelques chose de non naturel, quelque chose qui ne devrait pas exister. Mes yeux se fixèrent sur la pierre de la main gauche et, lentement, je tirais la langue.

Je ne voyais plus vraiment ce qu’il y avait autours de moi, mes idées s’embrouillais et il me semblait que j’étais menacer par autre chose qu’une main qui m’étranglais. Mais cela ne percuta pas plus que ça mon esprit. Enfin mon esprit réagit, de l’acide coula lentement sur le bras de mon adversaire et, à ma grande surprise, cela ne fonctionna pas. L’acide passa à travers le bras et, pour le peux que je pouvais voir à ce moment-là, les gouttes tombèrent dans l’eau comme si elles n’avaient rien touché auparavant.

*Putain de merde*

Pensais-je alors que je sentais que la fin était proche.


[HRP: désolé pour la taille pas vraiment d'idée '_']

Au final, je n’aurais peut-être pas du l’énerver. Et même l’attaquer. A peine conscient, je me rendis compte qu’elle avait sursauté et que désormais, je tombais dans le vide. Je ne l’avais même pas touché. Apparemment, sa ne marchait pas sur elle. De toute façon, je n’avais pas la force de réagir, je tombais, à peine conscient et je savais que j’allais mourir. Noyer. Je n’avais jamais réussis à nager et je n’allais pas commencer maintenant. Le temps passa, je voyais ma mort arriver à toute vitesse. Une toute vitesse très lente d’ailleurs. Déjà je me voyais couler jusqu’au fond de l’eau, suffoquant. Mais bon, j’étais déjà à moitié inconscient. Une partie de mon cerveau se dit que ma mort ne serait pas si douloureuse que sa alors que l’autre, confirmait mon pressentiment, la noyade n’est pas agréable.

D’un seul coup, ma chute s’arrêta. Tout cela m’avait parus durer une éternité, pourtant, je n’avais pas parcourus beaucoup de chemin. Deux mètres au grand maximum. Désormais, j’étais suspendu dans le vide retenu uniquement par celle qui m’avait lâché. Je souris légèrement en respirant à toute vitesse. J’avais besoin d’oxygène. De beaucoup d’oxygène. Ce que je n’eu pas le temps de récupérer. D’un seul coup je me retrouvais propulser en l’air à plusieurs mètres au dessus du pont. Je ne comprenais rien à ce qui se passait, ce que je savais, c’est que j’allais m’écraser. Et cela ne manqua pas, battant des bras et des jambes, je m’écraser lamentablement face contre terre. Même pas sur le dos. Ma tête se fracassa contre les pierres du pont et je m’ouvris le front. Pas de chance comme dirait une certaine personne de ma connaissance. Je roulais sur le sol en gémissant le sang coulant sur mon visage. Elle parla, soit disant que cela était arrivé parce que je n’avais pas dit certaine chose. Mais la vie est faite de secret après tout. Si elle savait que j’appartenais a une organisation criminelle, elle n’aurait pas réagit pareil. Après tout, cela aussi est un secret.

Ma bouche s’emplit peu à peu de sang, je m’étais coupé la langue avec mes dents. C’est fou ce qu’une mauvaise chute peut faire des dégâts. Peu à peu, je me réfugiais dans la sécurité de l’inconscience, une inconscience qui me ferait oublier toute douleur. Décidément, je n’avais plus l’habitude de subir. Depuis que mon père était mort, il était rare que je me prenne des coups et dans tout les cas, c’était léger. Surtout depuis que j’avais obtenus mon pouvoir. Il était si efficace que je n’avais pas vraiment de mal avec mes adversaires. Et, pour la première fois depuis longtemps, j’étais désormais sans défense. Comme lorsque j’étais face à mon père. Ma vue se brouilla alors que la jeune femme me soulevait d’une seul main me ramenant a la réalité. A peu près. Je savais que j’étais dans une ville pourtant, les seules choses que je reconnaissais vraiment, était la jeune femme et le katana qui était poser sur ma tempe. Elle parla, encore et encore. Une dernière volonté. Oui, c’était ce que d’après elle je devais transmettre. Je souris, secouais la tête et la regardais comme si je voulais la manger. Elle était mon ennemi. Elle termina sa phrase et je lui crachais à la figure. Je crachais tout le sang que ma bouche contenait. J’avais mal partout. Essentiellement à la tête et je ne comprenais plus grand-chose. Désormais, pour moi, nous étions entourés d’herbe. Pourtant quelques instants plus tôt, nous étions sur un pont en pierre. Des pierres qui m’avaient massacré.

-Une dernière volonté ? Gamine, j’men fou de ta vie. Fais donc ce que tu veux, sa sera jamais pire que ce que j’ai déjà vécue.

Ma voix était rauque et s’étouffa dans le sang que je crachais à nouveau sur le sol. Du sang coulait de ma tempe et de mon visage, mes vêtements étaient complètement foutus tâché par le sang. Je souris, un petit sourire en coin comme elle les détesté. De toute façon, elle avait déjà décidé de me tuer, cela je l’avais comprit, par conséquent, j’avais décidé de l’énerver au plus. Autant pourrir la vie des autres jusqu’au bout. Je ne parvins pas à utiliser mon fruit du démon. Lorsque je voulu le faire, un léger petit gaz violet s’échappa de mes narines. Inoffensif, il ne ferait rien à cette dose sur un être humain de cette taille. A la limite il aurait pu permettre de faire tousser un gamin qui vient de naître. Mais la jeune femme ne le savait pas, peut-être qu’elle me lâcherait pour échapper au gaz. Peut-être que je survivrais. Qui sait.

Du sang, beaucoup de sang, c’est ce que je sentais couler le long de mon corps et ce que la jeune femme était entrain d’essuyer sur son visage. Je l’avais touché. Ce n’était pas une attaque et je l’avais touché. Je ne comprenais plus rien. Elle possédait un magnifique pouvoir, un pouvoir qui la rendait indestructible. Et c’est lorsque cette idée germa dans mon esprit, que je pris peur. Cela faisais longtemps que je n’avais pas sentit cette sensation, et immédiatement, je la détestais à nouveau. Haine et peur en même temps, un mélange peu acceptable. Quelque chose d’indestructible, quelqu’un, que malgré tous mes efforts, je ne pouvais pas tuer. Tous les poils de mon corps se hérissèrent. Non de collèrent, de peur. C’était la première fois que cela m’arrivais. Le fait qu’elle soit indestructible me faisait peur.

La marine arriva, soutiens inespéré pour une fois, surtout que vue la scène, je n’étais absolument pas en tord. Pour une fois. Les moments ou j’étais content que la marine soit la était rare mais, pour une fois, même si je savais que ceux-ci n’était pas spécialement fort, j’étais heureux de leurs présence. Colère, peur, bonheur. Un mélange qui ne devrait pas exister. Ma tête me faisait mal, ma vision disparus. Désormais, tout était extrêmement lumineux, comme si le soleil lui-même c’était mis devant mes yeux mais, étrangement, cette lumière n’étais pas douloureuse. Ou alors la douleur que mes yeux subissaient se fondait dans celle de mon front. Au choix. Elle avait parlé, je m’en rendais compte à présent et je n’avais rien comprit. Ce que je compris immédiatement par contre c’est qu’elle avait retiré son katana de ma tempe. Un katana qu’elle m’enfonça dans le ventre transperçant mes organes. J’ignorais ou j’étais touché, dans tous les cas, je savais que j’avais peu de chance de m’en sortir. Mais elle était sadique, elle me laissait un espoir, un espoir que je ne saisis même pas. Désormais, j’étais triste. Cette fille était du même sang que moi. Colérique, sadique. Elle avait la perfection en elle. Une profonde tristesse s’empara de mon corps, s’ajoutant à la colère, au bonheur et à la peur. Un mélange étrange que mon cerveau ne supporta pas.

Je sombrais dans l’inconscience, je ne comprenais absolument plus rien, dans ma tête tout se mélangeais. C’est à peine si je compris que quelqu’un me soulevais et m’emmenais autre part. Peut-être pour me faire soigner. Je n’en espérais pas tant. Je sentais que ma blessure était proche du cœur. La jeune femme l’avait fait exprès, j’en étais sur. Au point ou elle en était elle pouvait bien se le permettre. Au fond de moi je souriais, elle voulait juste donner un espoir de survie, un espoir qui serait rapidement anéantit. Elle m’avait blessé sérieusement et savait que j’aurais du mal à m’en remettre, si jamais c’était possible. C’était magnifique. LA dernière chose que je ressentis fus le faite que mes bras ballotais dans le vide puis, je perdis entièrement conscience alors qu’une voix m’appelais.

-Gamin !Hey gamin ! Gamin ! Gamin !