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 Une aide bénévole et une nouvelle arme dans l'arsenal.

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Cloud Strife
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Cloud Strife

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MessageSujet: Une aide bénévole et une nouvelle arme dans l'arsenal.   Une aide bénévole et une nouvelle arme dans l'arsenal. EmptySam 18 Aoû - 5:51

Cela faisait trois ou quatre jours environ que j'étais sur le bateau qui m'emmenait jusqu'au village d'Orange. Lorsque le Vise-Amiral Kaogi nous a parlé de ce village qui a été complètement (et littéralement) rasé par un groupe de bandits inconnue et que ses habitants cherchaient des volontaires pour aider à sa reconstruction, je me suis tout de suite proposer. Au total, nous étions une dizaine à nous être porté volontaire. Je savais qu'on allait mettre du temps à faire le trajet, mais je pensais pas que le voyage allait être si long ! Enfin bref... J'étais tranquillement installé au pied du mat principal, regardant vers la proue tout en profitant du soleil. C'est là que j'aperçus notre destination se dessiner à l'horizon.Après être descendu de mon perchoirs, je me suis dirigé vers ma cabine. Dans le couloir, j'ai croisé le Colonel en charge du navire, qui m'a dit que l'nous serions arrivé dans moins de cinq minutes. Ca me laisse assez de temps pour récupérer mes affaires. Deux minutes plus tard, je sortais de la cabine, mon sac sur le dos, et je suis retourné sur le pont. A peine étais-je sortis que le bateau s'arrêta, signe que nous étions arrivé au port. Je suis descendus sur le quai et je me suis retrouvé face à ce qui restait du village. Ah ouai, quand même ! Six maisons étaient en cours de finition, quatre autres n'avaient pas de toit et les deux dernières n'avaient que leurs fondations de terminer. Je jetais un oeuil derrière moi et je vis le reste du groupe arriver. J'ai commencé à m'avancer, lorsqu'un homme, qui était habillé avec une salopette bleue, un casque jaune sur la tête et des rouleaux de papiers sous le bras, vint à notre rencontre. Ce devait surement être le contre-maître, ou quelque chose du même genre. Nous fîmes tous le salut militaire avant de l'écouter.

Bonjours, Messieurs. Que puis-je faire pour vous ?

Bonjours. Lieutenant Clad Silver. Nous sommes là pour vous aider à la reconstruction du village.

Ah ! Vous devez être les hommes du Vise-Amiral Kaogi.

Oui, en effet.

Très bien. Si vous voulez poser vos affaires, le camp provisoire se trouve plus loin, sur votre gauche.

Après l'avoir remercier et saluer, nous sommes tous allé au fameux camp. Pour ma part, j'ai envoyé dans la première tente libre mon sac et je suis retourné, au pas de course, au village. De nombreux vaisseaux arrivaient pour déposer des soldats et / ou des civils venus d'autres îles. Ce qui fait que, quatre jours plus tard, dix maisons étaient terminées, et même déjà occupées, et la construction de quatre autres étaient bien avancée. Mais, alors que je partais chercher divers matériaux, je suis passé à côté d'un vieil homme qui tentait de fixer l'enseigne de son magasin. Perdant l'équilibre, il faillit tomber de son escabeau. Heureusement, je l'ai rattrapé juste à temps et je l'ai remis sur ses pieds.

Vous allez bien ? Rien de casser ?

Non, ça va. Merci jeune homme. Maintenant, excusez-moi. J'ai mon enseigne à accrocher.

Et risquer de vous briser la nuque ! Laissez-moi faire. Je m'en occupe.

Je lui pris le marteau des mains et je me mis au travail. J'interpella un soldat qui passait à ce moment là pour qu'il m'aide et, deux minutes plus trad, l'enseigne était fixée. Alors que le soldat s'éloignait, je me sur tourné vers le vieux et je lui ai rendu son outil.

Et voilà. Mais, la prochaine fois, demandez de l'aide. Ce sera plus prudent.

Oui, en effet. Merci, mon petit. Cela mérite un petit quelque chose.

Oh non, ce n'est pas la peine. Je n'ai fais que mon devoir.

Je n'ai jamais dis que ça aller être gratuit. Venez.

Ah... Ah ouai, d'accord ! Il perd pas le Nord, le grand-père ! Mais pour lui faire plaisir, je l'ai quand même suivis dans son échoppe. Et nous sommes entré dans... Un magasin d'armes blanches. Je ne m'attendais pas à ça, tiens. Il a dut être l'un des premiers à se réapproprier les premières maisons terminées. Le vieil homme passa derrière le comptoir et s'y installa.

Allez-y, choisissez.

Comment ? Que je choisisse une des épées ?

Mais oui, allez-y. Pour vous, elles sont toutes à moitié-prix.

Oooh ! Une ristourne de 50%, quand même. Ca tombe bien, je voulais m'acheter une arme pour le corps-à-corps. Je me suis donc mis à regarder un peu partout, jusqu'à ce que je remarque cette lame :
Spoiler:

J'étais comme attiré par elle. Je m'avançais, lentement, la main tendue vers le manche, lorsque le vendeur m'interpella.

Faites attention ! Elle est extrêmement lourde.

Ah ?

Lorsque ma main se posa sur le pommeau, je fus parcourus par un frisson. Passé la surprise, je soulevais l'épée comme si elle faisait le poids d'une plus petite. Je fis remarquer au vieil homme qu'elle me paressait pourtant très légère. Pas de réponse, bizarre. Je me suis tourné vers lui et je l'ai vu, les yeux écarquillés et la bouche grande ouverte.

Heu... Monsieur ? Vous allez bien ?

Comment cela se fait-il ? Nous nous y sommes prit à cinq, pour l'installer !

PARDON ?!!!!!

Non mais je rêve ! Lui, il a fallut qu'il demande à cinq personnes (je pense pas qu'il est put la soulever, même avec quatre personnes) pour la déplacer, et moi, j'arrive à la manipuler sans problème ! Mais c'est quoi, ce bordel ?! C'est là qu'il m'explique qu'il a entendu une rumeur sur cette arme, qui disait qu'elle posséderait une magie qui lui permettrait de choisir son porteur et de lui permettre de la magner comme une épée courte. Hum... Ca se tient. Ca expliquerait aussi le frisson que j'ai eus en la prenant. Je regarde l'étiquette du pris. 30000 Berry mais, avec sa ristourne, ça fait plutôt dans les 15000 Berry, soit toutes mes économies. Génial.

Intéressant. Je la prends.

Vous... Vous êtes sûr ?

Certain.

Je lui donnais tout ce que j'avais et il partit dans l'arrière-boutique, pour revenir avec le fourreau. Le temps de fixer ce dernier dans mon dos, je posais ma nouvelle épée sur le comptoir. Le vieux essaya, en vain, de la soulever. Le fourreau attaché, je reprenais ma lame que j’enfilais dedans, laissant le manche dépassé au dessus de mon épaule droite. Après l'avoir remercier, je sortis de la boutique. Fauché, certes, mais désormais équipé d'une arme au corps-à-corps. Je repris aussitôt le travail. Grace au grand nombre de personnes présentes, la reconstruction avançait très rapidement. La preuve, en une semaine, nous avions déjà reconstruit deux rues complètes. Malheureusement, ce jour là, des problèmes se profilaient à l'horizon.

J'étais en train de mettre en place une porte, lorsqu'un gamin apparut au bout de la rue, en pleurant. Laissant tout tombé, je me suis précipité au milieu de la rue et je l'ai attrapé.

Et ben, mon bonhomme. Qu'est-ce que tu as ?

Les méchants monsieur pas beau sont revenuuuuuus !!!

Et merde ! C'est pas bon, ça. Il ont surement eut vent de la reconstruction du village et ils viennent l'empêcher.J'ai laissé partir le garçon, qui est allé directement dans les bras de sa mère, et je me suis tourné vers l'un des gars qui étaient venus avec moi. Je lui ai demandé si était le plus gradé et il m'a dit que c'était moi. De mieux en mieux. Bon, garde ton calme et réfléchis. J'ai pus remarquer qu'il tremblait comme une feuille. Si il a peur de combattre, pourquoi il s'est engagé dans la Marine ? On verra après. Je lui ai demandé de ramener tout les Marines qu'il pourrait trouver au port et je m'y suis moi-même rendu, suivit de tout les gars qui était présents. Après dix minutes d'attente, personne n'arrivait. J'en ai déduis qu'il s'était planqué quelque part. Je parlerais de son cas à Kaogi, en rentrant. Pour le moment, je vais devoir faire avec la dizaine de soldats présents. Deux ou trois sont avec moi mais la plus part, je ne les connais pas.

Bon, écoutez. Je sais que je suis pas, pour la plus part, votre supérieur direct. Mais, apparemment, je suis le plus haut gradé. Ca vous pose un problème ?

Pas de réponse.

Parfait. Voilà le topo : les brigands qui ont détruit le village la première fois reviennent pour empêcher les habitants de le reconstruire. Il faut absolument les arrêter. Tuez-les, si il le faut. Alors, qui est avec moi ?

J'en ai vu deux ou trois partir en courent. Putain mais ils ont envoyé que des trouillards ou quoi ?! Bref. Le hurlement d'une femme m'a fais retourné pour voir arriver le groupe de renégats. Ohoh, ça va être plus dur que prévus. Il sont clairement en surnombre. Je me suis retourné et je n'ai vue personne se barrer. Eux, au moins, ils prennent leur rôle au sérieux. De retour face aux attaquants, j'avais remarqué qu'il s'avaient déjà commencer à avancer dans la rue. J'ai dégainé mon épée et me suis élancé vers eux. En quelques secondes, j'ai arrivé à leur hauteur et je commencé à trancher dans le vif. Et ben, heureusement que mon père m'a apprit à me servir d'une épée, plus jeune. Quatre brigands ont essayé de m'attaquer par derrière. Je sais pas pourquoi, mais je me suis retourné et j'ai frappé aussi fort que je pouvais le sol avec ma lame, ce qui a produit une sorte d'onde de choc qui alla frapper mes assaillants. J'ai été surpris mais je me suis immédiatement repris et j'ai recommencé à combattre. Après cinq autres ennemis au tapis, je me suis propulsé en l'air et je suis retombé devant le chef.

Je t'ai vus combattre. C'est quoi, ton fruit du démon ? Le fruit de la secousse ?

Pas vraiment, non.

Je lui fis une démonstration en remplaçant ma main gauche par un pistolet et en tirant une balle dans la tête d'un de ses subordonnés. Ma main reprit alors sa place.

Que... Salaud ! Tu vas me le payer !

Il s'élança vers moi et tenta de me trancher en deux. Mais je réussis à parer et à le repousser. Je m'élançais à mon tour sur lui et lui donnais plus coup, tous parés. Mais ce fourbe a réussit à trouver une ouverture et à m'envoyer un couteau de lancer, qui alla se planter dans mon ventre. Une main sur la plaie, je fis quelques pas en arrière. Je plantais mon arme devant moi bien droite, et je m’appuyais dessus, tout en appuyant fermement sur ma blessure. Je donnais un rapide coup d'oeuil en arrière et je vis mes collègue combattre les derniers brigands. Je refis face à leur chef qui, quand à lui, il avait le sourire jusqu'aux oreilles.

Qu'est-ce qui te fait sourire ?

Le fait que je vais te tuer.

Il se mit alors à courir vers moi, l'épée prête à me transpercer. Ma plaie s'était arrêté de saigner, je pus donc rapidement donner un coup de pied, pied qui se transforma en lance-flamme, avec lequel je pus cramer la face de l'autre abrutie, qui tomba en arrière, mort. Je récupérais ma lame, que je rengainais, puis je me retournais vers les autres Marines. Ceux-ci avez finalement arrêté les survivants du groupe. Un groupe de soldats arriva avec une charrette et se mirent à y entasser les corps. J'avais envie de leur dire "C'est bien le moment d'arriver !" mais je n'ai rien fais. Heureusement, à par moi, il n'y avait aucun blesser dans nos rangs. D'ailleurs, le médecin est arrivé et m'a soigné. Mais, à part le chef, les brigands n'étaient vraiment pas fort. Je pense qu'ils ont dut profiter du fait qu'il n'y ait aucun combattants pour détruire la ville.

Plusieurs jours plus tard, une troisième rue était reconstruite. Je m'attelais à mettre en place les tuiles d'une maison lorsqu'un soldat m'informa qu'un message urgent de mon Vise-Amiral était arrivé pour moi. Je descendis du toit et je pris le papier, avant de le lire. C'était bien l'écriture de Kaogi qui m'ordonnait de rentrer dans les plus bref délais à la base avec les autres soldats. Je parcourus le chantier, à la recherche de mes collègues, et, dix minutes plus tard, tout le monde était sur le bateau, prêt à partir. J'expliquais brièvement notre départ précipité au chef de chantier et je montais moi même à bord. Le navire en route pour notre base, et mes affaires en cabine, je me suis réinstaller au pied du mat central. Le voyage de retour allait être surement long que l'allé, c'est sûr.
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