Bon j'ai zappé le test rp personne na rien vu

Citation :

Raconte comment tu t'es infiltré dans une petite base de marines dans un premier temps.Puis raconte ton combat contre eux en utilisant ton fruit du démon.Tu devras tous les maintenir en vie.Un minimum de 40 lignes est demandé.

Vive l'imagination o/ Bref vu que t'es déjà validé par une erreur de ma part , t'a intérêt a bien le faire

Le test rp Erza ?

Je me levais comme d’habitude dans ma tente au milieu du camp révolutionnaire nous étions en train d’essayer de libérer l’île sur laquelle nous nous trouvions, mais pour cela il faillait déjà vaincre l’armée du roi de ce pays soutenue par la marine, ce qui n’était pas chose aisée. Nous venions de prendre une ville et sans attendre nous avons repris la route. Apparemment j’étais le seul pour qui devoir se déplacer constamment ne posait aucun problème. Ce mode de vie me rappelait mon enfance dans les tribus nomades. Un jeune homme m’interpella et me dit qu’un officier voulait me voire, et que je devais le suivre. Je m’exécutai et une fois arrivé devant la tente il me laissa seul.
Des mon entrée dans la tente je fus saisi par une odeur de fumée je fus un pas en arrière par reflexe et essuya mes yeux embrumés. Je m’approchai du bureau de l’officier ou il était en train de lire un document. Il devait avoir au moins un demis siècle. Il portait une courte barbe poivre et sel parfaitement entretenue. Il avait un air sérieux que tous les soldats vétérans ont. Il tenait dans sa main droite un énorme cigare et dans sa main gauche un parchemin. Au bout de quelques secondes il le posa sur une énorme pile puis me toisa d’un air sévère. Après un instant d’attente il dit :
« Alors c’est toi le petit nouveau qui à mangé un fruit du démon ? »
Je lui répondis maladroitement que oui, et il me tendit un parchemin enroué. Pendant que je le déroulais il m’expliqua :
« Tu va devoir infiltrer une base des marines au prochain port, tu devra y voler des documents qui se trouvent dans le bureau de l’officier principal de cette base. D’après nos informateurs il y aurait une carte très précise de l’ile et de ses villes qui pourrais nous être utile. Il y a aussi un inventaire de tous les matériaux et de toutes les armes dont ils disposent. Tu partiras dans une heure, un cheval t’attend. Des questions ?... non ? Tant mieux, débarrasse le plancher maintenant. »
Je lui obéis et retourna directement dans ma tente pour récupérer mon violon, ainsi qu’un ocarina au cas où. Je fis un détour aux cuisines pour y récupérer des rations pour mon voyage. Une fois arrivé aux écuries improvisées je tendis le parchemin que l’officier m’avait donné à un palefrenier qui me donna un cheval après l’avoir lu. Je fixai l’étui de mon violon à la scelle et je me mis en route vers le nord ou se trouvais la base.

Je suis arrivé à la base juste après le coucher de soleil, et attacha mon cheval à un arbre de manière à ce qu’il puisse brouter l’herbe autour de lui. Puis je pris mon violon et me dirigea furtivement vers la porte. Malheureusement pour moi elle était fermée et gardée par cinq gardes. Je commençai à jouer une berceuse pour endormir les quartes premier gardes, et avant que le dernier ai put m’occire je jouai une autre mélodie et mon agresseur s’arrêta net. Il posa son fusil et baissa le pont levis depuis une des tours qui la jouxtait, puis il s’endormit. Vu qu’il faisait nuit je m’attendais à ne croiser aucun marines, ce fus le cas jusqu’au moment ou je passai le seuil d’une porte et me retrouva dans une sorte de bar remplis de marines. Je laissai échapper un :
« Et merde…. »
Puis ils dégainèrent tous leurs sabres. Ensuite commença une course poursuite dans les couloirs assez courte a vrais dire, car je me retrouvai très vite entouré. Je commençai donc à jouer un air assez joyeux au violon en espérant qu’il y aurait un effet sur tous les marines. Au début il n’y eu aucun effet, puis après quelques secondes les marines dansèrent malgré eux. Rassuré je baissai ma garde et commençai à reprendre mon chemin vers le bureau du directeur. Quand d’un coup deux marines surgirent, me prirent mon violon et le brisèrent. Avant que ne j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit je me suis retrouvé sur le dos une lame sous la gorge. J’étais fais comme un rat. Ils me forcèrent à me relever et me trainèrent à terre. L’un d’eux me dit :
« Le directeur de la base décidera de ton sort, en attendant tu est notre prisonnier. »
JE ne répondis pas et me laissa trainer jusqu’à ce que les deux marines ouvrent une porte et me jettent à genoux devant un vieil homme ventrus en train de manger. Il reposa la saucisse qu’il s’apprêtait à engloutir et me dévisagea. Ne lui laissant pas le temps de décider de mon sort je bondis en arrière et sortis mon ocarina. A toute vitesse je jouai un bref air ce qui eu pour effet d’immobiliser les trois marines. Puis j’entamai un air plus lent et plus doux pour les endormir. Tous mes problèmes semblaient réglés quand j’entendis des bruits de pas dans les couloirs. Les effets de mes précédentes musiques s’étaient estompés. Paniqué je fermai la porte et poussa une étagère devant pour bloquer le passage. Paniqué je fouillai rapidement le bureau et pris tous les documents que je trouvais. Puis je les jetai tous par la fenêtre avant de jauger la hauteur à laquelle je me trouvais. Si je sautais je me casserais certainement quelque chose, mais si je restais je mourrais. Je me suis pendu d’abord au rebord de la fenêtre, puis prenant mon courage à deux mains, je me laissai tomber dans les hautes herbes en contrebas. J’atterris sur le coté et mon épaule émis un craquement sinistre. Je me relevai et ramassa les documents en vitesse. Je les glissai sous ma chemise avant de partir en boitant, apparemment ma jambe gauche aussi avait subis des dégâts. J’arrivai à mon cheval, et au moment où je montais un groupe de marine arriva en courant. Je tentai de jouer de l’ocarina avec ma seule main valide, mais il me glissa entre le doigt, et je dus prendre rapidement la fuite. Toute la nuit durant je galopai, et à l’aube j’aperçus le camp. Heureux d’avoir accomplis ma mission je me dirigeai vers les écuries, et une fois arrivé je sombrai dans l’inconscience.

Quand je me suis réveillé j’avais la bouche pâteuse, la gorge sèche et la langue enflée, je mourrais de soif. Un infirmier qui avait constaté mon réveil m’ordonna de ne pas bouger car ma blessure à l’épaule était plutôt sérieuse. Il me tendit une tasse remplie d’eau que je vidai d’un trait. Puis il m’aida à me lever et me guida jusqu’à la tente de l’officier. Une fois encore on me laissa entrer seul. J’entrais en boitillant et l’officier me regarda l’air contrarié :
« Tu n’aurais pas du prendre tous les documents, maintenant ils savent quel était ton objectif. Mais passons, tu à fais du très bon travail. La prochaine fois essaie de revenir en entier. »
Il me fit signe de partir, puis on m’aida à aller jusqu’à ma tente, ou m’attendaient un violon neuf ainsi que de béquilles pour m’aider à marcher.
C’était ma première mission en solo dans les rangs de la révolution et j’avais accomplis ma mission à peut près correctement, je m’allongeai sur mon lit et me rendormis, il me faudrait sans doute du temps pour me remettre…

Okay okay ^^