fiche d'Aeron

Aeron

Information Général :

Surnom :
Date de Naissance : 16/09/451
Âge :20 ans
Fonction: Révolutionaire.
Rang: Musicien
Arme(s) :Un violon ?
Fruit du démon : Hamelin Hamelin no mi (Fruit permettant de contrôler les adversaire ou des objets inanimés à l’aide de la musique, la portée à bien sûr ses limites, ainsi que le nombre d’objet pouvant être contrôlé.)

Une beauté fatale ou une monstruosité ?

Aeron est un jeune homme vif et fringant. Il est de taille moyenne (1m80) et est doté d’un corps assez athlétique. Malgré cela ses compétences physiques n’ont rien d’exceptionnelles, il ne se démarquait jamais dans aucune discipline, à part pour la natation quand il était jeune mais ironie du sort il à mangé un fruit du démon ce qui ne lui laissa que la musique et la cuisine comme possibilités. A part ses capacités moyennes en sport il faut avouer qu’Aeron à un physique avantageux. Il a un visage fin avec peut de défauts, ses yeux verts et brillants et ses cheveux blonds faisait de lui un jeune homme attirant quasi irrésistible aux yeux des certaines membres de la gent féminine. Il s’habille généralement de manière assez simple : une chemise parfois seule, parfois avec une cravate et par temps froid avec une veste et une écharpe. Il porte aussi un pantalon simple, souvent beige ou noir ainsi que des chaussures noires pour la plupart du temps. Il garde toujours sur lui son violon , parfois d'autres instruments ainsi qu'un anneau d'or qui lui à été donné par celui qui lui à enseigné la musique.

Un psychopathe ou un pacifique ?

Pour continuer il est important de savoir ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. Premièrement, il aime tout ce qui est alcoolisé (étonnant n’est ce pas ?), il aime aussi la bonne cuisine et les belles femmes, ensuite il aime l'art, mais le vrai art, il aime les grandes toiles d'artistes et des belles chansons, c'est un vrai mélomane, ce qui l’a poussé à devenir musicien. Aeron est aussi quelqu’un qui affectionne la présence des les amis et de ses camarades. Il est aussi un fêtard invétéré capable de boire et manger pendant des heures, des journées voire des semaines. Il aime bien aussi les animaux, vivants ou dans son assiette peut importe.

Maintenant parlons de ce qu’il n'aime pas, Aeron déteste les menteurs, les lâches, les hypocrites, les rancuniers et les "péteux" car ils sont je cite: "des connards". Il ne porte pas non plus la marine dans son cœur, ni le gouvernement mondial, trouvant les premiers inutiles et superflus et les seconds tyranniques et odieux. D’ailleurs il n’aime pas beaucoup de pirates beaucoup, enfin seulement ceux qui prennent du plaisir à massacrer et a piller les villages d’innocents.

Maintenant évoquons certaines réactions, eh bien elles sont plutôt aléatoires, même s’il reste assez amical dans la plupart des situations, il peut arriver a tout le monde d’être de mauvaise humeur ou simplement énervé.
De nature plutôt conciliante Aeron ne cherchera jamais à se prendre la tête et lâchera souvent des « ouais ouais si tu veux » pour qu’on lui foute la paix. A part ca il est assez gentil, mais très maladroit avec les mots.

Un passé douloureux ou joyeux ?

Aeron ne connait pas ses vrais parents, la tribu de nomades qui l’a adopté lui à juste dit qu’ils l’avaient trouvé dans une carriole un soir avant de quitter une ville. Un enfant non désiré, probablement issu d’une relation illégitime, un fils bâtard, bref, pas un enfant de bonne famille. Il à donc grandis dans une tribu de nomades principalement constituée de marchants ambulants d’artistes itinérants et de troubadours. Le fait qu’il soit adopté à servis de prétexte aux membres du convoi pour lui refiler pas mal de corvées, principalement cuisiner et faire le ménage. Heureusement pour lui il n’y avait pas de latrines. Le convoi était en fait un regroupement de petits groupes qui se suivaient entourant celui dans lequel Aeron vivait. Il vit donc de nombreuses choses durant sa jeunesse, des artistes aux talents étranges des hommes d’une taille incroyable ou forts comme des bœufs. Des marchands lui on aussi permit de gouter de nombreuses épices des plus communes aux plus exceptionnelles, de toucher les meilleurs tissus, de voire les bêtes les plus farfelues et les plus belles fleurs. Au final il a surement eu une meilleure vie que s’il était resté dans sa famille.
Un jour d’automne tout le convoi s’était arrêté, Aeron ne comprenant pas se dirigea vers l’avant par curiosité, et vis un spectacle bien étrange : un autre convoi détruit (probablement par des brigands ou même par la milice d’un seigneur passant par la, ce sont les risques de ce mode de vie) et parmi les débris et les cadavres un cercles d’hommes de femmes et d’enfants assis. Tous mots le sourire aux lèvres. Et aux milieux un homme à l’allure décharnée assis sur un coffre jouant lentement du violon. Un forgeron qu’Aeron connaissait depuis longtemps s’proche de lui et lui pose la main sur l’épaule et lui demanda si tout allais bien. Le violoniste l’ignora et continua à jouer quelques mesures puis tomba à terre. Le forgeron contrôla son pouls et dit qu’il était encore en vie mais très faible. On le mit dans une carriole avec son coffre et on me demanda de le nourrir et de lui donner a boire. Le soir venus la vingtaine de membres constant du convoi (ceux du noyau central, donc pas ceux des petits groupes qui se rattachaient pour bénéficier de protections face aux brigands) décida de fouiller le coffre du malade et de se le partages comme paiement pour l’avoir sauvé. Le coffre débordait d’objets précieux en touts genre, et touts les adultes se les accaparèrent. Aron tira sur la manche du chef du groupe de demanda « Et moi ? » le chef jeta un œil au coffre et ramassa une noix verte qui trainait au fond en disant « tiens voila ta part dégages maintenant. » Aeron haussa les épaules, goba la noix et retourna veiller sur le violoniste. Ce dernier se réveilla au bout d’une semaine, et avec touts les litres de soupe qu’Aeron lui avait fais avaler il avait déjà plus l’air d’un humain. Celui-ci se leva d’un coup et souleva l’enfant par le col « ou est mon coffre !!!??? » criait-il « ou est il !? ». Aeron répondis tant bien que mal : « ils…Ils o tout pris, tout le monde à pris vos objets…ils ont dits que c’était leur salaire pour vous avoir sauvé. ». Il reposa l’enfant et dit : « je me fous des objets, y avait il une noix dans le coffre ?
-Ouais elle était assez dégelasse d’ailleurs...
-Quoi ?! Tu l’as mangé… mais quel abrutis !
-Oh c’est bon calme toi c’est qu’une noix moisie hein calme toi.
- Idiot ! Tu à mangé un fruit du démon, plus jamais tu ne pourras nager, c’est le prix pour tes pouvoirs.
- Bien sur bien sur vous devriez vous reposer… »
Sur ces mots l’homme le pris sur son épaule, sortis de la carriole et se dirigea vers une rivière tranquille et balança Aeron au milieu. Ce dernier coula, et au dernier moment il se fit repêcher par celui qui l’avait lancé :
« Tu me crois maintenant ? »
Aeron allongé par terre essoufflé articula :
« Je te crois…. »
Puis la journée continua comme les autre mais avec un homme en plus dans le convoi.

Le soir Aeron retourna voir le violoniste et conversa avec lui. Il apprit son nom : Santo ainsi que son nouveau pouvoir : contrôler les gens grâce au son de sa musique, pouvoir tout a fais inutile quand on ne sait pas en jouer. Apres de longues heures de négociation Santo accepta de devenir le maitre d’Aeron.
Durant les années qui suivirent Aeron appris à jouer du violon, de l’ocarina, du piano, de la guitare et de bien d’autres instruments. Il absorbait le savoir de son maître comme une éponge. Santo lui appris aussi à lire et à écrire. C’est à ses 18 ans qu’Aeron finis son apprentissage. Ne sachant plus quoi faire de ses journées il décida de partir à l’aventure. Avant de partir son maitre lui offrit son anneau d’or pour le revendre au cas où et lui souhaita bonne chance. Après avoir erré trois jours il arriva dans une grande ville en piteux état. La ville était pleine de soldats qui semblaient fêter une victoire. En en questionnant quelques uns Aeron appris qu’ils faisaient partis de la révolution et qu’ils tentaient de libérer l’île du joug du gouvernement mondial. Aeron décida de les rejoindre soit par caprice soir pour les aider dans leur cause lui-même ne le sait pas vraiment. C’est ainsi que ses aventures commencèrent vraiment….

Derrière l'écran

Prénom : Kevin
Âge : 16
Fille ou garçon : garçon
Comment as-tu découvert le forum ?

Bon j'ai zappé le test rp Rolling Eyes

personne na rien vu Rolling Eyes

Citation :: Raconte comment tu t'es infiltré dans une petite base de marines dans un premier temps.Puis raconte ton combat contre eux en utilisant ton fruit du démon.Tu devras tous les maintenir en vie.Un minimum de 40 lignes est demandé.

Vive l'imagination o/ Bref vu que t'es déjà validé par une erreur de ma part , t'a intérêt a bien le faire Razz

Le test rp Erza ? fiche d'Aeron 2162190104

Je me levais comme d’habitude dans ma tente au milieu du camp révolutionnaire nous étions en train d’essayer de libérer l’île sur laquelle nous nous trouvions, mais pour cela il faillait déjà vaincre l’armée du roi de ce pays soutenue par la marine, ce qui n’était pas chose aisée. Nous venions de prendre une ville et sans attendre nous avons repris la route. Apparemment j’étais le seul pour qui devoir se déplacer constamment ne posait aucun problème. Ce mode de vie me rappelait mon enfance dans les tribus nomades. Un jeune homme m’interpella et me dit qu’un officier voulait me voire, et que je devais le suivre. Je m’exécutai et une fois arrivé devant la tente il me laissa seul.
Des mon entrée dans la tente je fus saisi par une odeur de fumée je fus un pas en arrière par reflexe et essuya mes yeux embrumés. Je m’approchai du bureau de l’officier ou il était en train de lire un document. Il devait avoir au moins un demis siècle. Il portait une courte barbe poivre et sel parfaitement entretenue. Il avait un air sérieux que tous les soldats vétérans ont. Il tenait dans sa main droite un énorme cigare et dans sa main gauche un parchemin. Au bout de quelques secondes il le posa sur une énorme pile puis me toisa d’un air sévère. Après un instant d’attente il dit :
« Alors c’est toi le petit nouveau qui à mangé un fruit du démon ? »
Je lui répondis maladroitement que oui, et il me tendit un parchemin enroué. Pendant que je le déroulais il m’expliqua :
« Tu va devoir infiltrer une base des marines au prochain port, tu devra y voler des documents qui se trouvent dans le bureau de l’officier principal de cette base. D’après nos informateurs il y aurait une carte très précise de l’ile et de ses villes qui pourrais nous être utile. Il y a aussi un inventaire de tous les matériaux et de toutes les armes dont ils disposent. Tu partiras dans une heure, un cheval t’attend. Des questions ?... non ? Tant mieux, débarrasse le plancher maintenant. »
Je lui obéis et retourna directement dans ma tente pour récupérer mon violon, ainsi qu’un ocarina au cas où. Je fis un détour aux cuisines pour y récupérer des rations pour mon voyage. Une fois arrivé aux écuries improvisées je tendis le parchemin que l’officier m’avait donné à un palefrenier qui me donna un cheval après l’avoir lu. Je fixai l’étui de mon violon à la scelle et je me mis en route vers le nord ou se trouvais la base.

Je suis arrivé à la base juste après le coucher de soleil, et attacha mon cheval à un arbre de manière à ce qu’il puisse brouter l’herbe autour de lui. Puis je pris mon violon et me dirigea furtivement vers la porte. Malheureusement pour moi elle était fermée et gardée par cinq gardes. Je commençai à jouer une berceuse pour endormir les quartes premier gardes, et avant que le dernier ai put m’occire je jouai une autre mélodie et mon agresseur s’arrêta net. Il posa son fusil et baissa le pont levis depuis une des tours qui la jouxtait, puis il s’endormit. Vu qu’il faisait nuit je m’attendais à ne croiser aucun marines, ce fus le cas jusqu’au moment ou je passai le seuil d’une porte et me retrouva dans une sorte de bar remplis de marines. Je laissai échapper un :
« Et merde…. »
Puis ils dégainèrent tous leurs sabres. Ensuite commença une course poursuite dans les couloirs assez courte a vrais dire, car je me retrouvai très vite entouré. Je commençai donc à jouer un air assez joyeux au violon en espérant qu’il y aurait un effet sur tous les marines. Au début il n’y eu aucun effet, puis après quelques secondes les marines dansèrent malgré eux. Rassuré je baissai ma garde et commençai à reprendre mon chemin vers le bureau du directeur. Quand d’un coup deux marines surgirent, me prirent mon violon et le brisèrent. Avant que ne j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit je me suis retrouvé sur le dos une lame sous la gorge. J’étais fais comme un rat. Ils me forcèrent à me relever et me trainèrent à terre. L’un d’eux me dit :
« Le directeur de la base décidera de ton sort, en attendant tu est notre prisonnier. »
JE ne répondis pas et me laissa trainer jusqu’à ce que les deux marines ouvrent une porte et me jettent à genoux devant un vieil homme ventrus en train de manger. Il reposa la saucisse qu’il s’apprêtait à engloutir et me dévisagea. Ne lui laissant pas le temps de décider de mon sort je bondis en arrière et sortis mon ocarina. A toute vitesse je jouai un bref air ce qui eu pour effet d’immobiliser les trois marines. Puis j’entamai un air plus lent et plus doux pour les endormir. Tous mes problèmes semblaient réglés quand j’entendis des bruits de pas dans les couloirs. Les effets de mes précédentes musiques s’étaient estompés. Paniqué je fermai la porte et poussa une étagère devant pour bloquer le passage. Paniqué je fouillai rapidement le bureau et pris tous les documents que je trouvais. Puis je les jetai tous par la fenêtre avant de jauger la hauteur à laquelle je me trouvais. Si je sautais je me casserais certainement quelque chose, mais si je restais je mourrais. Je me suis pendu d’abord au rebord de la fenêtre, puis prenant mon courage à deux mains, je me laissai tomber dans les hautes herbes en contrebas. J’atterris sur le coté et mon épaule émis un craquement sinistre. Je me relevai et ramassa les documents en vitesse. Je les glissai sous ma chemise avant de partir en boitant, apparemment ma jambe gauche aussi avait subis des dégâts. J’arrivai à mon cheval, et au moment où je montais un groupe de marine arriva en courant. Je tentai de jouer de l’ocarina avec ma seule main valide, mais il me glissa entre le doigt, et je dus prendre rapidement la fuite. Toute la nuit durant je galopai, et à l’aube j’aperçus le camp. Heureux d’avoir accomplis ma mission je me dirigeai vers les écuries, et une fois arrivé je sombrai dans l’inconscience.

Quand je me suis réveillé j’avais la bouche pâteuse, la gorge sèche et la langue enflée, je mourrais de soif. Un infirmier qui avait constaté mon réveil m’ordonna de ne pas bouger car ma blessure à l’épaule était plutôt sérieuse. Il me tendit une tasse remplie d’eau que je vidai d’un trait. Puis il m’aida à me lever et me guida jusqu’à la tente de l’officier. Une fois encore on me laissa entrer seul. J’entrais en boitillant et l’officier me regarda l’air contrarié :
« Tu n’aurais pas du prendre tous les documents, maintenant ils savent quel était ton objectif. Mais passons, tu à fais du très bon travail. La prochaine fois essaie de revenir en entier. »
Il me fit signe de partir, puis on m’aida à aller jusqu’à ma tente, ou m’attendaient un violon neuf ainsi que de béquilles pour m’aider à marcher.
C’était ma première mission en solo dans les rangs de la révolution et j’avais accomplis ma mission à peut près correctement, je m’allongeai sur mon lit et me rendormis, il me faudrait sans doute du temps pour me remettre…

Okay okay ^^