Aika S. Tsuguho

AIKA S. TSUGUHO

Aika S. Tsuguho 176789Aikaa

Informations Générales ϟ

Surnom : Il est difficile de faire plus court. (:
Date de Naissance : Je connais pas l'année dans laquelle nous sommes, donc. Mad

Âge : 17 années.
Fonction : Civil voulant devenir pirate.
Rang : Navigatrice.
Arme(s) : Des grelots qu'elle porte sur ses habits, ses cheveux sont en réalité des petits bombes explosives. Mais elle les utilise en cas d'extrême urgence.
Fruit du démon : Hana Hana No Mi - Fruit de l'Éclosion.

Une beauté fatale ou une monstruosité ϟ

Une jeune femme se tient devant vous. C'est une jeune femme pas encore adulte. Sur son visage vous pouvez lire encore la douce enfant qu'elle eut été. Ses yeux d'un brun violet sont purs et magnifiques. Vous vous y perdrez plus d'une fois, je vous l'assure. Ses cheveux sont de la même couleur de ses yeux mais en plus foncés. Des cheveux soyeux aux couleurs vives mais douces. D'innombrables mèches folles volent autour d'elle. Elle porte très souvent ses cheveux attachés en grande couette derrière sa tête, liés par un nœud rose foncé et blanc comptant plusieurs ruban identiques s'enroulant dans ses cheveux longs.
Vos yeux glisseront ensuite vers sa silhouette fine et gracieuse. Elle porte toujours un petit haut assortit à son ruban se nouant sur son ventre d'un nœud solide mais gracieux. Vous découvrirez ensuite ses hanches fines presque fragiles. Vous apercevrez les bracelets de tissus blancs qu'elle porte autour de ses deux poignets. Des grelots résonneront dans vos oreilles. Elle vient d'agiter tout le haut de son corps légèrement. Vous finirez par finir de détailler son corps en découvrant sa longue jupe ouverte sur les deux côtés. Elle est longue et ondule dans le vent. Son épaisseur ? Vous êtes incapable de le dire, elle se marie si bien avec les jambes finies et gracieuse de votre inconnue.
Néanmoins, un détails vous arrache un frisson. Une immense cicatrice partant du haut de la cuisse de la demoiselle et se terminant au milieu de son mollet. Comment s'est – elle fait ça ? Vous ne le savez pas, mais cela brise le charme de celle qui se tient devant vous. Vous relevez la tête embarrassé par la longue cicatrice. Lorsque vous croisez de nouveau le visage de la demoiselle vous avez envie de comprendre pourquoi ; mais surtout vous avez envie de l'aider … Oh oui, tellement. Mais cette dernière trace sa route sans même vous adresser une parole. Seulement un petit sourire qui vous suffit largement.

Un psychopathe ou un pacifique ϟ

Tu es Aika Tsuguho. Tu es une fille dont le sourire est merveilleux. Tu souris parce que tu es heureuse. Tu souris parce que tu veux que le monde devienne aussi beau que ton cœur. Tu souris car ton espoir et ta détermination n'ont aucune limite. Tu sais que les choses peuvent changer. Tu sais que tu peux changer. Pour le moment, tu vis dans le présent. Tu as oublié tes cauchemars mais tu as peur qu'il reviennent. Tu as peur d'être rongée par le mal d'autrefois. Tu es une excellente comédienne, mais ayant utilisé cet atout pour faire le mal autrefois tu ne l'utilises qu'en dernier recourt. Néanmoins, tu continues de rependre la joie partout où tu vas. Tu souris. Tu aides parfois. Tu ne supportes pas l'injustice et la méchanceté. Être dure tu essayes de l'être parfois pour montrer l'exemple et suivre le bon chemin. Tu voudrais être plus réfléchis, mais ton âme d'enfant trône encore en toi. Tu cherches à être plus forte, mais cela n'arrivera que quelques années plus tard. Tes muscles sont faibles, peut – être, mais ton moral est bien plus fort ! Tu as dû caractère, quand tu veux quelque chose tu tentes toujours d'aller jusqu'au bout. Quand il s'agit de sauver un ami tu es toujours là pour lui porter secours, quelque soit les conséquences. Tu penses même trop aux autres et tu oublies de penser à toi … Aika, tu es celle qui sera ce qu'elle voudra être, mais essaye de rester toi – même plutôt que de chercher à devenir celle que tu n'es pas.

Un passé douloureux ou joyeux ϟ

« Laisse moi faire ma petite. Laisse moi leur raconter ton histoire avant que tu ne te lances à la raconter toi – même. »

CHAPITRE I ϟ Tu es née & tu as vécu …

Tu es née sur East Blue dans l'immense et grande ville de Longuetown. Oui, tu es née dans la ville natale du roi des Pirates Gold D. Roger. Ta mère était d'une beauté sans égale. L'aillant moi – même vu, je fus plusieurs fois émerveillé devant pareille beauté. Ton père était un Révolutionnaire dont le nom nous est tous inconnu. Je ne l'ai jamais vu. Même ta mère ne sait pas qui il est. Il s'est fait passé pour un homme normal et il est éperdument tombé amoureux de ta mère. Pour la protéger, il est revenu la voir une fois par an. Il ne lui a jamais dit son véritable nom et sa place dans la vie mais ta mère ne voulait pas savoir car elle aimait cet homme plus que tout. Elle était prête à l'attendre toute une année pour l'avoir à elle toute seule pendant une journée ou même une nuit. J'admirais la beauté physique et morale de ta mère. Elle a toujours su trouver les mots justes, les mots doux pour mettre d'accord tout ceux qui l'écoutait. Seulement, à la dernière visite de ton père, il avait assuré à ta mère qu'il ne reviendrait plus car il risquait de la mettre en danger. Mais avant de partir, il lui a offert un cadeau. Toi. Ta mère a longtemps pleuré son absence et son abandon, sans néanmoins lui en vouloir. Elle savait à présent qu'elle avait une vie à aider à grandir, à s'épanouir. Elle s'est donc occupée de toi comme jamais elle ne s'était occupée de quelqu'un avant. Elle te faisait rire. Elle savait sécher toutes tes larmes. Les autres avaient essayé de le faire à sa place quelque chose, mais jamais ils n'étaient arrivés au même résultat que ta mère. Les longues heures qu'elle a passé à tes côtés à tenter de ne jamais céder à tes caprices, de toujours te donner le meilleur, de te montrer le véritable sens de la vie, a t'apprendre la navigation, l'histoire du monde, les pirates, les fruits du démon et tout ce que tu devais savoir pour être plus forte ont fini par payer. A l'âge de huit ans déjà tu étais devenue une petite fille exemplaire. Ta mère était fière de toi. Tu as continué de grandir, cette fois, sans elle parce qu'elle t'avait incitée à aller voir le monde de tes propres yeux. Parfois tu avais découvert des choses merveilleuses, d'autre fois non et tu pouvais toujours revenir vers elle pour pleurer et calmer tes peines. Tu dois énormément à ta mère, crois – moi ! Ne l'oublie jamais ceci, d'accord ?

CHAPITRE II ϟ Lorsque tu tombée amoureuse de lui ...

Tu as atteint l'âge de tes quatorze ans ! Tu es devenue une jeune fille magnifique. Crois – moi, ta beauté est l'égale de celle de ta mère. Ton caractère n'est peut – être pas aussi merveilleux que le sien car tu as quand même un côté fort. Ne le prend pas mal, ce n'est pas une reproche, car ce côté te sauvera la vie. D'ailleurs, ce jour – là, ton fort caractère payera … Tu as rencontré un jeune homme qui est âgé de trois ans de plus que toi. Il est beau, élégant, charmant, polis, aimable, bref, tu lui as trouvé toutes les qualités imaginables sur terre. Vous avez tout de suite sympathisé. Il t'a néanmoins menti en te disant qu'il était un fils de boulanger et que tu comptais reprendre la boutique de son père. Il était un pirate. Un pirate venant d'un équipage très recherché par la Marine. Il n'osait pas te le dire de peur que tu ne le rejette. Tu l'as crue puis un jour, vous vous êtes embrassés. Vous vous êtes dits toutes mes louanges possibles (comme quoi vous vous aimerez jusqu'à la fin des temps, votre amour n'a aucun égal blablabla). Ceci n'était que bêtise. Tout ce qu'il voulait c'était que tu le suives. Après avoir longtemps regardé dans ta maison (sans que tu ne le saches bien sûr) que tu étais une excellente navigatrice. L'équipage de ton faux Roméo avait besoin d'une navigatrice et il avait décidé de t'amadouer pour que tu viennes avec lui. Mais bien sûr, il savait que tu ne les suivrais pas sans que ta mère ai disparu … Ils ont donc mis des indices partout chez toi pour faire croire à la Marine que ta mère était un membre de l'équipage à part entière et qui donnait des informations sur la Marine. La Marine l'a immédiatement arrêtée. Lorsque tu es montée sur leur bateau pour juste le visiter (c'était ce que tu croyais) ils t'ont dit toute la vérité lorsque tu leur as dit que tu ne pouvais partir sans l'accord de ta mère. Ta fureur n'avait d'égal. Tu voulais tous les massacrer et porter secours à ta mère le plus vite possible. Mais ton faux Roméo t'a assommé et vous êtes partis en mer …

CHAPITRE III ϟ Tout est devenu différent ensuite …

Tu t'es réveillée un matin. Les mouettes ne chantaient pas comme à Longuetown. Tu pouvais entendre les vagues s'écraser sur la coque de ton nouveau bateau. Ton amoureux déchu t'a annoncé ta mission. Devenir la navigatrice de ce navire ou sinon c'était la mort. Tu aurais préféré la mort, mais tu te rappelais les conseils de ta mère. « La mort n'était que la dernière aide à prendre. Cherche bien les autres avant car une fois cette option prise tu ne pourras faire machines arrières … » Tu as donc accepté de devenir la navigatrice de ce navire après avoir réfléchis à un plan diabolique. Tes premiers jours en tant que navigatrice se passèrent bien. Tu as amadoué plusieurs personnes avec ta beauté, tu as réussi à gagner le véritable amour de ton amour déchu en te faisant passer pour la fille qu'il aurait aimé avoir à ses côtés, puis ton plan s'est enclenché. Tu avais découvert un fruit du démon caché dans une des cales. Un marin t'y a emmené, il est repartit et tu as mangé le fruit du démon. Tu le connaissais car tu avais entendu les membres de ton équipage en parler. Ta mère t'en avait parlé quelque fois et tu avais beaucoup aimé ce fruit. Lorsque tu l'as mangé, tu ne comprenais pas trop ce qui t'arrivais, mais tu sentais que ton plan allait fonctionner. Tu devais le faire, pour ta mère aujourd'hui emprisonnée ou bien … morte. Tu as remplacé le fuit du démon par un aliment que tu avais façonné à ta façon pour qu'il soit parfaitement ressemblant. Tu ne savais pas quand son utilisateur allait le manger, mais tu savais que tu aurais un peu de temps pour apprendre à maîtriser ton pouvoir. Lorsque l'utilisateur se rendit compte de la supercherie, il ne te dénonça pas tout de suite, te laissant encore un peu de temps. Puis, le jour de la vérité éclata. Lorsque tout l'équipage se rendit compte de ceci, tu essayas de leur trouver des excuses valables pour l'avoir mangé. Certains te croyaient mais d'autre non. Celui qui devait mangé ton fruit se rua sur toi furieux. Tu croisas tes poignets, te concentra, ferma les yeux et murmura : « Six Fleurs ». Deux de tes bras poussèrent sur les épaules de l'homme, deux autres sur ses jambes puis sur son dos. L'homme fut immobilisé puis les bras tirèrent vers l'arrière jusqu'à ce que … « Clutch » craaaaaaaac. D'autres membres se jetèrent sur toi en te traitant de traitresse et tu leur fit subir le même sort que le premier. Tu défoules ta rage sur l'équipage. Beaucoup perde la vie sans même qu'ils ne te touchent … C'est alors que ton faux Roméo se jette sur toi. Tu le défies du regard. Vous vous battez durant de longues heures. Tu faiblis, lui aussi. Il lance son épée vers toi. Tu l'esquives de justesse, seulement, son épée entaille toute ta jambe droite. Tu as affreusement mal, mais tu te relèves et essaye une nouvelle attaque. « Six Fleurs » Des bras poussent sur le jeune homme. « Twist » Les bras se mettent alors à bouger et torde le jeun homme dans tous les sens. Sa colonne se brise … Le capitaine de l'équipage était ébahis. Ses pouvoirs étaient bien plus puissants et tu savais que tu n'avais aucune chance. Seulement, tu avais tout prévu. La Marine arrive alors et s'empare du bateau. Pendant ce temps, tu t'es sauvée sur une petite barque.

CHAPITRE IV ϟ Tu es devenue une femme.

Tu as longtemps ramené avant de retourner à Longuetown. Là – bas, tu aurais aimé sauvé ta mère, mais il était trop tard … Elle était enfermée à Implet Down à présent. Tu voulais tellement la sauver. Ta rage était immense. Tu es rentrée dans ta maison détruite par la Marine. Tu leur en voulais terriblement ! Le Gouvernement était là pour la justice alors pourquoi n'avait - il pas enquêté avant de prendre ta mère captive ? Tu ne pouvais répondre tellement ta douleur et ta rage grandissait de jours en jours. Tu as vécu pendant de longues semaines dans ta maison détruite et tenté d'améliorer ton fruit du démon. Cette tâche fut bien plus dure que tu ne l'avais imaginé. Tu as ensuite étudié de nombreuses cartes, de nombreux livres sur la mer pour grandir encore et encore ton savoir sur la navigation. Tu as découvert ensuite un log-poss dans une cachette de ta mère. Tu savais ce que tu devais faire maintenant ! Tu voulais trouver un équipage de pirate pour embarquer et vivre des aventures, mais également pour tenter de rétamer la justice ! Tu voulais ouvrir les yeux au Gouvernement. Beaucoup t'ont prévenu que c'était perdu d'avance, mais tu t'en moquais. Ton but était de prouver au monde que les criminels pouvaient parfois ce cacher derrière le drapeau de la justice !

» Les ruelles sont bruyantes ... Il y a toujours eu beaucoup de monde à Longuetown. Cela n'avait jamais changé. Ma mère me l'avait beaucoup dit déjà quand nous marchions ensembles sur le marché. Je marchais calmement. Je repensais à autrefois quand je tenais encore la main de ma mère. Les passants me regardaient bizarrement parfois. Ils regardaient la cicatrice que m'avait fait ... Je rabattis ma jupe sur ma jambe blessée. Certains tournèrent vivement la tête gêné, d'autre ne s'en soucièrent même pas. Je n'aimais pas trop être observé. Je souriais quand même pour eux, pour leur bonheur et pour le mien. Je fis un petit détour vers le port de Longuetown. Certains matelots allaient embarquer et je les enviais .. Moi aussi je voulais partir voguer sur l'océan avec des camarades, un équipage. Seulement, je n'étais qu'une simple civil ... Je repartis vers ma maison, la tête légèrement baissée. Je pouvais réaliser mon rêve, mais ce serait plus tard ... Bien plus tard ...

Derrière l'écran ϟ

Prénom : Lalie.
Âge : 13 années.
Fille ou garçon : Demoiselle.
Comment as-tu découvert le forum ? Top – site !

Bienvenue ! Avant de lire tout ça , j’aimerais préciser que le groupe pirate est fermé pour le moment je suis désolée Smile

Haaan zut. >< J'aurais dû lire plus attentivement la page d'accueil. /:
Je me sens vraiment pas de changer mon personnage de groupe parce qu'il m'inspirera beaucoup moins, et je préfère avoir un personnage qui m'inspire pour être actif. Serait - il possible d'être une navigatrice tout de même, de me prendre dans le groupe des Civils puis lorsque le groupe des pirates sera de nouveau ouvert je pourrais me rajouter dedans ? /:

Bien sûr

Parfait, je finis donc ma présentation le plus vite possible puis j'attendrais le Rp test pour le fruit du démon avec impatiente. (:

EDIT - J'ai fini ma présentation. ^^

Très bien , la présentation est nickel , j'ai rarement vu une prez raconté avec la deuxième personne , assez original comme concept.
Je te donne ton test demain , enfin plus tard dans la journée plutôt.

Eukay. J'attends alors. (:

Ahh zut désolé Aika S. Tsuguho 2162190104

j'ai totalement oublié excuse moi... vraiment désolé
Bon alors ,

Citation :: Au cours d'un de tes voyages , tu t'arrêtes à nouveau à Loguetown , et là-bas tu aperçois une femme qui ressemble exactement à ta mère.
Tu l’interpelles mais te rends compte ensuite que c'est une marine.Un contre amiral pour être plus précise.Après avoir échangé quelques paroles avec elle , elle dit avoir accompagné ta mère jusqu'à sa cellule et te nargues avec cette histoire.Folle de rage tu décides de la tuer, sachant qu'elle possède un fruit du démon de ton choix.Tu devras utiliser ton fruit.Un minimum de 40 lignes te sont demandées.

Voilà bonne chance Wink

{* Voilà mon petit Rp Test. Désolée du retard, mais le temps me manque ces temps – ci. /: Ensuite, je tiens juste à préciser que dans le Rp je ne parle pas de retour de voyage car étant donné qu'Aika n'est pas pirate et n'a pas trouvé d'équipage, j'ai fait comme si elle cherchait à trouver un endroit où en trouver un donc, elle est embarqué par des marins comme ça. (: Si ça gène je peux changer, mais je trouvais que ça collait mieux avec mon histoire et le futur d'Aika. (: }

Les vagues s'écrasaient sur la coque de bois de notre bateau. Le vent soufflait suffisamment fort pour que le navire prenne une vitesse respectable et les mouettes chantaient, nous annonçant que la terre ferme n'était pas loin. Assise sur une échelle de corde donnant accès aux certaines parties du grand mat, j'observai penchée l'horizon, accrochée d'une seule main sur les cordes. Le vent soufflait, agitant doucement les grelots que je portais. Je pouvais voir l'écume de la mer défiler sous moi. Des frissons m'envahir quand je sentais l'odeur salé de la mer. Depuis que j'avais le fruit de l'éclosion, tout contact physique, même odorant avec la mer me donnait de désagréables frissons. Cela n'était pas plus mal car ça m'empêchait de m'en approcher trop. Accrochant ma seconde main au corde de l'échelle, je me hissai alors vers le haut. J'étais peut – être pas bien musclée, mais l'agilité était devenu un de mes points fort aujourd'hui. J'atteins le haut du grand mat plus vite que je ne l'aurais pensé. Marchant alors en équilibre sur le large et solide morceau de bois, j'attends la poutre principale du navire. M'appuyant dessus pour conserver un parfait équilibre, je me sentis tellement grande ! Je pouvais maintenant apercevoir au loin ma ville natale. Loguetown. Les souvenirs passés avec ma mère remontèrent tellement vite que je perdis équilibre lorsque le bateau bougea légèrement. Ma très chère mère … Comment ai – je pu lui faire ça ? Comment ai – je pu la laisser ainsi ? Aujourd'hui, elle séjourne à Implet Down alors qu'elle est parfaitement innocente ! Je ne regrettais en rien d'avoir tué un par un ces sales matelots ! Ils n'avaient eu que ce qu'ils méritaient !

« Ma petite dame ! On va pas tarder à accoster à Loguetown ! »
« Merci bien ! dis – je en regardant le vieux monsieur en bas. J'arrive tout de suite ! »

Je sautai alors dans le vide et croisa mes avants – bras devant ma poitrine et murmura : « Cinq Fleurs ». Cinq bras se mirent à pousser sur la pourtre soutenant la grande voile. J'attrapai alors une main et descendit vers l'avant du bateau, me servant de mes bras comme une liane. Les matelots me regardèrent ébahi. Lorsque je posai un pieds sur le sol de bois, les bras disparurent, laissant place à des quelques pétales de fleurs. Le vieux matelot m'ayant appelé vint vers moi et me dit :

« Vous devriez faire attention ma petite dame ! »
« Vous inquiétez pas Monsieur, je sais parfaitement ce que je fais, lui dis – je en souriant. »
« Mais n'empêche que c'est dangereux votre truc ..., dit – il en se frottant la barbe. »

Je lui souris et lui assura qu'il n'avait pas à s'en faire. Il sourit à son tour et m'annonça qu'ils s'arrêteraient ici seulement deux jours et si je voulais reprendre la mer avec eux, je devrais venir dans deux jours à l'aube. Je hochai la tête en signe de compréhension et lorsque le bateau arriva au port, je descendis du bateau. Partant à toute jambe, joyeuse, je voulais retrouver quelques souvenirs d'autrefois. Retrouver son passé faisait parfois du bien, vous savez. Moi j'aimais beaucoup revenir chez moi et me rappeler de mes bons moments ; même si parfois cela faisait mal. Mais nous sommes nés pour souffrir tout comme pour sourire. Maman me l'avait très souvent dit. Lorsque je souffrais je ne devais jamais oublier que c'était pour sourire encore plus plus tard. Maman avait toujours raison. Elle me manquait. Terriblement. Elle, par contre, elle détestait qu'on ressasse de vieux souvenirs. Elle détestait que je me rende malheureuse pour du passé. Par exemple, quand je pensais à mon père, elle disait que je ne devais pas y penser car mon père faisait partit du passé jusqu'au jour où il entrerait dans mon présent. Beaucoup de fois il était rentré dans le présent de Maman, je le lisais dans ces yeux. Elle avait aimé mon père comme n'importe qui pouvait aimer quelqu'un. Je le savais. A sa façon de baisser les yeux quand on parlait de lui, à sa façon de changer vite de sujet, de faire son plus beau sourire … J'aurais tellement aimé que mon père ai été parmi nous ; avant.

Marchant dans une petite rue, je découvris une silhouette fine et gracieuse. Ses cheveu ondulés descendaient doucement sur ses joues. Ses yeux étaient d'un violet pur et merveilleux. Son visage était magnifique. Je me suis alors arrêté. Ce visage … Ces cheveux … Ces yeux … Lorsque la silhouette passa à côté de moi, je l'arrêtai. Cette dernière recula, surprise et sur ses gardes. Je l'examina un peu plus. Plus je la regardais, plus je pouvais lire la stupeur dans ses yeux violet. Je ne pouvais le croire. C'était tout simplement impossible ! Comment, comment cette femme pouvait – elle ressembler autant à elle, à ma mère ! Je me mis en travers de la route de l'inconnue. Je ne pouvais pas la laisser partir après avoir vu une telle ressemblance. Ma mère aurait été libéré sans que je le sache ?! Ma Maman serait en vie ? En bonne santé ? Ce serait bien trop beau. Je finis par demander :

« Amy S. Ravencherg ? »
« Euh … Vous devez vous tromper de personne, jeune fille. dit – elle en fronçant les sourcils. Je m'appelle Ludivine. »
« Veillez m'excuser, je vous avais pris pour quelqu'un d'autre. »
« Je vois ça ! Vous m'avez confondus avec elle. Beaucoup de personne se sont trompées avant vous, vous savez. »
« Vous connaissez Amy ? demandai – je alors espérant. »
« Bien sûr que je la connais, c'est moi qui l'ai amené dans sa cellule à Implet Down ! me ria t – elle au nez. »
« Vous … vous êtes de la marine ? »
« je suis Ludivine Pestula, contre – amiral ! »
« Vous savez ce qu'est devenu Amy ? »
« Elle doit certainement pourrir dans sa cellule et avoir ses six heures de tortures à Implet Down. Hahaha, la garce ! Elle a essayé de nous faire croire qu'elle n'y était pour rien alors que tous les indices trouvés prouvaient le contraire. Hahaha. »
« Elle disait la vérité !! »

La femme fronça les sourcils et parut surprise. Elle recula d'un ou deux pas. Moi, je ne pouvais que la fixer avec colère. Comment osait – elle parler de ma mère ainsi ? Comment pouvait – elle ?!

« En parlant de ça, vous n'auriez pas un air de ressemblance vous deux, aussi ? »

Devais – je répondre ? Je me trouvais tout de même devant un contre – amiral. Si j'avouais notre lien de parenté, ma vie serait mise en danger. J'hésitai. Voyant que j'hésitai, la femme comprit mon jeu et commença alors à jouer avec moi :

« Tu sais ce qui m'a fait le plus rire dans tout ça ? C'est quand on a essayé de savoir si elle avait des enfants. Lorsqu'on lui a posé cette question, elle nous avait affirmé ne jamais avoir mis au monde un enfant. Nous ne l'avions pas cru, évidemment ! Une belle femme comme elle ne peut pas passer inaperçu vis – à vis des hommes. Alors tu sais ce qu'on a fait ? On l'a torturé deux jours de suite jusqu'à ce que son corps ne soit plus capable de bouger. J'ai beaucoup aimé quand le boureau a ... »
« STOP ! hurlai – je folle de rage. »
« Tu sais que tu viens de gaspiller les heures et les heures de tortures de ta mère petite ? »

Son rire m'irrita particulièrement. Cette femme essayait de me mettre hors de moi. Je lisais dans ces yeux le plaisir qu'elle avait à le faire. Elle pensait que j'étais une simple gamine qui saute dans un danger sans savoir comment s'en défaire ? J'allais lui prouver le contraire à cette … « Six Fleurs ». Des bras poussèrent sur ses jambes pour les immobiliser, sur son dos pour immobiliser ses bras et sur ses épaules pour tirer sa tête en arrière. J'entrouvris la bouche pour prononcer le mot Clutch mais la femme murmura une parole. De longs piques poussèrent sur ses épaules, me transperçant les bras. Je hurlai et les bras disparurent du corps de la femme. En revanche, mes véritables bras étaient transpercées et ça faisait terriblement mal. Je replis mes bras contre moi, regardant la femme avec mépris et colère. Cette dernière rigola en voyant le sang couler le long de mes bras. Elle tendit la main et un pique poussa. J'eus tout juste le temps de l'éviter. Le pique m'effleura la hanche quand je sautai au sol pour l'éviter. Ce frôlement me brûla et ma colère ne fut que plus grande. J'avais beaucoup de mal à me servir de mes bras blessée pour le moment, alors j'atterris sur le sol comme une grosse crêpe. Je me relevai péniblement sur mes jambes, accroupie. Ludivine s'approcha de moi, retrouvant sa main étant devenu un pique juste avant. La femme me ria au nez, de nouveau … :

« Tu croyais pouvoir me tuer aussi facilement ? Je suis contre – amiral tout de même. Tu sais que tu viens de t'attirer de très gros ennuis en m'attaquant ? Tu ne vas pas tarder à rejoindre ta mère. Non, que dis – je ! J'ai vraiment la flemme de t'amener dans une cellule alors je vais tout simplement t'expédier en enfer. »

Son bras redevint un pique aussi tranchant qu'une lame et fusa vers moi. Je sautai de nouveau. « Dix Fleurs » Dix bras poussèrent après le mien et attrapèrent un rebord de maison. Je grimpai alors. Ludivine remarqua tout de suite que je tentai de m'échapper. Elle allait pointer son pique vers moi, mais je décrochai un grelot qui pendait dans mes cheveux et lui lançai dessus. Une explosion eut lieu. Je l'entendis simplement tousser, mais la fumée me permit de grimper tout en haut de la maison sans être blessée. A présent, je devais vite trouver un moyen de me débarrasser d'elle. Je regardai mes bras de nouveau. J'essuyai vite fait le sang et retira deux rubans que j'avais dans le cheveux. J'entourai mes bras. Mes longs cheveux retombèrent alors, plus attaché. Je détachai un bracelet de tissu que je possédai et nouai mes cheveux d'une simple couette centrale. Cela me permettra de mieux voir. D'ailleurs, je fus surprise de sentir la femme derrière moi.

« Tu ne m'échapperas pas, annonça t – elle amusée. »

Un pique me transperça l'épaule. Je hurlai de nouveau puis me retournai. Ludivine tenta de me transpercer de nouveau, mais d'un bond agile, je l'évitai. Toutes les parties de son corps pouvaient devenir de vrais épines, si j'utilisais mon fruit du démon, elle pourrait facilement me transpercer. Alalala, ça ne joue pas en ma faveur, là, mais alors pas du tout ! Je devais la jouer rapide alors ! « Dix Fleurs » « Flip » Des bras se mirent à pousser aussi rapidement que le pus mon fruit du démon et firent exécuter une culbute à Ludivine puis lui fracassa la tête par terre. Elle n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit. La femme ne bougea pas pendant un certain temps. Je pensais l'avoir eu mais je me trompais. Elle se releva. On pouvait lire sur son visage écorché la colère et la haine. Elle refusait de perdre, de me laisser filer. Personnellement, je refusais de perdre aussi. Elle avait osé se moquer de ma mère qui était certainement la femme la plus innocente et la plus juste de ce monde alors je ne pouvais la laisser vivre après ça ! Une femme comme elle ne méritait pas de vivre ! Je me relevai, déterminer à lui faire payer ces crimes ! Cette dernière sourit et d'un simple geste se transforma en véritable oursin. Elle se mit alors à rouler dans ma direction. Je sautai au dessus d'elle. Elle s'arrêta net quand elle découvrit qu'elle m'avait pas heurté et revint en roulant dans ma direction. Je courus comme je pus pour tenter de ne pas me faire en brocher. Voyant que j'arrivais à la fin du toit de la maison, je croisai les avants – bras : « Cinq Fleurs ». Cinq bras poussèrent sur l'autre maison d'à côté. Je sautai et attrapai la liane de bras pour me poser sur l'autre toit. La boule de pique me suivit en sautant. Ses piques étaient meurtriers, ils détruisaient tout sur leur passage. Les briques, les pierres se brisaient lorsqu'ils entraient en contact avec ses piques. Je devais faire quelque chose et vite ! La boule de pique se déplaçait tellement vite qu'elle me rattraperait très vite. Je sentis un pique effleurer mon mollet. Je sautai sur une cheminée. « Cinq Fleurs. » Une liane de bras se matérialisa de nouveau sur une autre maison. Je sautai dans le vide et monta sur l'autre maison grâce à cette liane. La boule pique continuait de me poursuivre. Je courus le long du toit le plus vite que je pouvais. Lorsque j'arrivais au bout, il n'y avait plus rien, juste la mer. Les vagues se fracassaient contre les murs de la maison. Je regardais à droite, à gauche, le même résultat … Quelle idiote ! J'avais réussi à me laisser prendre aussi facilement ?!! Furieuse contre moi – même, je regardais la boule de pique arriver à toute allure. Elle n'allait pas me foncer dedans car elle tomberait dans l'eau sinon. Comment allais – je me sortir de là ? Elle arrivait si vite.

Au dessus de cette maison, posée sur son toit plat, je sentais que j'étais perdue. La boule de pique cessa de rouler et Ludivine reprit sa tailler normale. Elle me regarda, un sourire de vainqueur sur les lèvres. Elle posa ses mains sur ses hanches, comme si le travail était déjà fini. Je reculai légèrement, mais je faillis tomber dans la mer. La femme rigola de toute ses dents. J'étais coincée, je le savais et elle, elle en était fière ! Fière de voir que j'avais perdu. Elle fit un pas, puis deux. Je ne pouvais pas la laisser gagner aussi facilement, non … C'est pas comme ça qu'on devient pirate Aika, aller ressaisie toi ! Regardant la mer et la hauteur qu'il y avait, une idée naquît dans mon esprit. Je regardai la femme approchée. Je n'avais plus que ça à faire de toute façon. Lorsqu'elle ne fut qu'à quelques mètres, je sautai en arrière. Comme je l'avais pressentie, elle se jeta en arrière pour regarder. Je croisa mes avant bras et murmura : « Quatre Fleurs. » Quatre fleurs poussèrent derrière la femme et la poussèrent violemment. Cette dernière tomba. « Cent Fleurs. » « Delphinium » Des mains poussèrent sur la façade toute alignée, deux par deux, poussant la femme de plus en plus vite vers l'eau. Quand elle tomba dans l'eau j'ouvris la bouche pour dire : « Cent Fleurs » « Wing. » Cent bras poussèrent dans mon dos et m'élevèrent vers le haut. Je commençai à voir trouble. J'avais utulisé beaucoup trop de mes pouvoirs. Néanmoins, je devais tenir encore un peu. Les ailes battirent deux ou trois fois et disparurent. Épuisée, je n'arrivais pas à continuer, mais par chance ou pas, je réussis à m'accrocher à un bras de mon Delphinium pas encore disparu. Ainsi vite que je le pus, je grimpai la façade. A certains moment, j'avais l'impression que j'allais lâcher et tomber, mais je tenus bon. Lorsque je fus en haut, je m'allongeai et tentai de reprendre ma respiration. Je me penchai pour voir si Ludivine était encore là, mais je ne la voyais plus, à part de l'écume à l'endroit où elle était tombée. Fermant les yeux, j'essaye de reprendre mes esprits, mais j'en fus incapable. Je gardai les yeux fermé et peu à peu, je perdis connaissance …

Un oiseau vint se poser sur mon corps blessé et épuisé. Je battis très doucement des paupières. Je réalisai peu à peu ce qui venait de se passer et repris mes esprits. Je tentai de me relever, mais je n'y parvins pas. J'étais épuisée ! Néanmoins, je puisai dans mes dernières ressources et m'assit. L'oiseau s'envola, laissant sur moi une plume blanche. Je la pris et l'observa longtemps. Je finis par regarder la mer où était tombée Ludivine. Je jetai la plume dans la mer en disant :

« Que justice soit faite ! »

Très beau test rp , validée bien évidemment Smile

Bon rp parmi nous ! , et pour le manque de temps ne t'inquiète pas pour ça , je comprends ^^