Cela faisait déjà une semaine que j'étais rentré du village d'Orange, où j'ai acheté mon épée Tsurugi mais, principalement, où j'ai aidé à reconstruire le dit village. J'ai dus aussi le protéger, avec l'aide de mes collègues, des brigands qui l'avaient rasé. Alors que la reconstruction était bien avancer, mon supérieur, le Vise-Amiral Kaogi, nous a tous demander de rentrer à la base. Sur place, j'ai fais mon rapport, en n’omettant aucuns détails (même pour ma lame), et il m'a donné une nouvelle mission : entraîner les nouveaux au maniement de l'épée. Génial ! J'en avais pas envie mais, comme c'est un ordre, je me suis exécuté. Je me suis dirigeais vers la cours principale et, une fois arrivé, j'ai pus voir une vingtaine de soldats, en train de discuter sans me voir. D'après ce que j'ai compris, ce sont tous des matelots 1ère ou 2ème classe. Et bey, c'est pas gagné. Je me suis avancé lentement vers eux, les mains derrière le dos. Lorsque je fus à quelques mètres du groupe, je me suis arrêté et j'ai pris une grande inspiration.

Garde à vous !

Surpris, ils firent immédiatement deux lignes de dix soldats. C'est bien, ils suivent les ordres. Ca commence bien.

Bonjours à tous. Je suis le Lieutenant Clad Silver et je serais votre instructeur pour vous apprendre à manier une épée. Pour commencer, allez sortir les râteliers.

Je ne vis personne bouger. Mais l'un deux leva la main.

Oui ?

C'est déjà fait, Monsieur !

Je tournais la tête vers la direction qu'il me montrait, soit sur ma droite. Je vis les fameux râteliers rangés prêt d'un autre bâtiment.

Ah, très bien. Dans ce cas, suivez-moi.

Je me mis à marcher vers les rangements, tout en surveillant que le groupe me suivait. Sur place, je me suis retourné et je leur ai dis de prendre les épées courtes, pour commencer, et de ce mettre deux par deux. Ceci fait, je leur ordonna de dégainer. Je plaqua main main violemment contre mon front (autrement dit, je fis un gros Facepalm) lorsque j'en vis dix lâcher leur arme, cinq la regarder sans savoir quoi faire et deux l'utiliser comme une canne, pour s'appuyer dessus. Il y en a seulement trois qui s'était mit en position de combat. Après mavoir entretenu avec les deux je-m'en-fou-tistes, qui s'est avéré qu'il ne savaient pas pourquoi ils s'étaient engagés, je les désarmé avant de les envoyer récurer les toilettes à la brosse à dent. Quand aux autres, je leur ai fait commencer l'entrainement.
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Deux semaines plus tard, j'avais réussis, je sais pas trop comment, à transformer ses incapables (sauf trois) en de relativement bons combattants. Je les ai emmené vers le Vise-Amiral pour qu'il les affecte. Néanmoins, je lui ai parlé des trois Marines qui se débrouillaient très bien. Je lui ai demandé de les mettre sous mon commandement pour continuer leur entrainement et il accepta. Je me suis alors entretenu avec eux.

Bon, écoutez messieurs. J'ai demandé à Kaogi de vous mettre sous mon commandement.

Pour quelle raison, Monsieur ?

Vous êtes d'excellents épéistes et j'ai décidé de continuer votre entrainement.

Ils furent enchantés par ma décision et c'est ainsi que j’entraînais ces soldats au maniement des épées à deux mains. Au fil du temps, j'appris à les connaître et je m'en suis fais des amis et, parallèlement, mon équipe personnelle. Il y avait Jeff, Franky et Orric. Et un moi plus tard, dans la rue principale de la ville...

Hey, Clad !

Ouai, Jeff ?

Le Vise-Amiral nous envoie en mission. Tien.

Je pris le papier et le lus.

Ok. Vas cherché les autres. Rendez-vous au port dans dix minutes.

Compris.

Alors qu'il repartait vers la base, je partis vers le port.