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 Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...

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Kurosaki Mugen
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Kurosaki Mugen

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MessageSujet: Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...   Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... EmptyMer 24 Oct - 5:25

KUROSAKI MUGEN

Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... Ichigo2b

Information Général :

Surnom : Fear
Date de Naissance : 12 Février
Âge : 20ans
Fonction (Pirate, Marine, etc) : Révolutionnaire
Rang (Bretteur, Musicien, Colonel, etc) : Capitaine/commandant ?
Arme(s) (Une maximum, sauf exception) : Katana
Fruit du démon : Gura Gura No Mi / Fruit de la Secousse : Permet à son utilisateur de créer des ondes sismiques pour ainsi provoquer des tremblements de terre ou fissures (même dans l'air ambiant) qui détruisent tout ce qui se trouvent sur leur passage. La force de ces ondes varie selon le désir de l'utilisateur et peuvent être démesurément grandes. Le pouvoir de ce fruit est tellement puissant qu'il peut aussi provoquer des tsunamis ou des abîmes. Les ondes sismiques peuvent recouvrir les armes pour décupler au maximum la puissance de leurs coups.

Une beauté fatale ou une monstruosité ?

Écrivez ici la description physique de votre personnage. La chevelure de Mugen est de la couleur qui a inspirée l'idée de la chaleur, rouge comme le feu des enfers en lui-même, en bataille comme la mer, rien n'est laissé au hasard chez lui, cette chevelure est pour lui signe de son état psychologique, tout comme le visage qui exprime très souvent un sentiment de colère et de perversion. Il n'est pas rare de le voir sourire, un sourire qui souvent peut être sadique, sa voix reflète tout autant son apparence que ses cheveux, dure, direct, c'est une voix portante, qu'on ne peut pas ne pas entendre ... Ses yeux eux, sont rouge, mais n'exprime aucunement un sentiment d'apaisement ou de bonheur, ils n'expriment que la colère, l'agressivité et l'arrogance dont Mugen fait preuve, ils sont à l’opposé de la couleur qu'ils portent, tout n'est que contradiction. Ses fines lèvres qui cachent soigneusement les crocs qu'elles cachent afin de lui éviter de mordre tout se qui bouche, tel un prédateur préférant garder la gueule fermée afin d'éviter de sauter sur la première proie venue afin de lui arracher sa chair afin d'y déguster tout ce qu'il y a derrière. Par ailleurs, si Mugen est une personne qui peut être agressive.

Quant à sa tenue, comme dit plus haut, elle représente la personne qu'il est, quelqu'un qui ne se soucie plus des petits détails, qui ne semble pas prêter attention à son apparence vestimentaire tel qu'il revête toujours cette tenue qu'il a décidé de porter afin de ne pas s'encombrer de quoique ce soit qui pourrait être inutile à sa personne. De même que la musculature qu'il possède montre aussi l'entretient dont il fait preuve auprès de son corps, il se sculpte au point de ne pas être prit pour un simple pirate de bas étage, il veut inspirer la crainte et la peur en montrant qu'il n'est pas faible et qu'un coup venant de sa part n'est pas une gifle venant d'une mère coléreuse.

Un psychopathe ou un pacifique ?

Mugen n'est ni fou allié, ni bête, il se sent simplement invulnérable et dans ce sentiment d'invulnérabilité il devient une personne téméraire qui ne fait pas attention aux dangers qu'il peut rencontrer durant les batailles qu'il pourrait livrer. Assez égocentrique et égoïste, seul sa propre personne le préoccupe, ceux qui chipotent ou qui ne semblent pas être à la hauteur ne sont pas considérés comme des alliés à ses yeux, simplement des boulets. Et même si autrefois il semblait être sage, réfléchi et qu'il savait penser avec sa tête et celle des autres, il n'en reste plus rien de cette personne, depuis que Mugen a tout perdu, il semble avoir radicalement changé, comme cité plus haut et plus bas. Par ailleurs, il ne semble pas être vraiment poli, il se peut qu'il débite des injures à longueur de temps afin d'exprimer son mécontentement, il n'est pas du genre à employer les grands mots, du moins, il n'est plus ainsi depuis bien longtemps. D'ailleurs, le regard qu'il porte sur le monde est devenu bien plus sombre qu'avant, lui qui semblait être un pacifiste et rêveur épanouie ne pense qu'à ravager les obstacles qu'il rencontre sur son passage, tout n'est que ravage dans son esprit, ce qui ne le suit pas doit périr, c'est malheureux, mais c'est ainsi.

N'oublions pas qu'il exprime aussi ce qu'il ressent ou ce qu'il veut faire par sa gestuelle, oui, il utilise très régulièrement les gestes afin de se faire comprendre, et même si ses mouvements peuvent paraître vulgaire, il s'en fiche royalement, si on ne peut le comprendre, on ne peut rester à ses cotés. Mugen est du genre à agir brutalement et sur des coups de tête, si quelque chose le contrarie il va s'emporter assez rapidement ou alors faire languir la chose qui le contrarie avant de faire en sorte que celle-ci devienne moins contrariante. En résumé, Mugen est une personne prétentieuse et arrogante, il se pense invulnérable et semble même en être persuadé, tel que sa témérité n'égale sans doute celle de personne.

Un passé douloureux ou joyeux ?

« Et si le monde n’était qu’une infime partie de notre rêve … »

Chapitre I - L’instinct de survie …


De là d’où je viens, je n’ai jamais réellement connu le malheur, moi qui était par le passé un fervent défenseur de ce monde, je me suis retrouvé à le combattre pour en fonder un nouveau, étant gamin, je rêvais de devenir marine, de devenir un héro aux yeux de ce monde, mais je ne pouvais m’imaginer que le monde était aussi cruel. Je ne pouvais me faire à l’idée de quitter les miens, je vivais heureux, en communauté, et pourtant, j’ai toujours su qu’il me fallait faire quelque chose pour être et devenir. Ma famille ne vivait pas sur l’or, oh non, nous vivions du stricte nécessaire, dans un environnement peu convenable à mon évolution, je ne comprenais pas grand-chose, mais je voyais très bien dans quelle misère je marchais tous les jours, et mon père me racontait toujours qu’un Homme ne peut être un Homme tant qu’il ne mesure pas la chance qu’il a d’être en vie … Sauf que vivre ne me préoccupait pas, je voulais … survivre !!! En voyant un pays délaissé par le gouvernement et par la justice, je pouvais constater les ravages que certains malfrats pouvaient causer, et bien heureusement, je ne cessais de croire en cette justice que je pensais si … si idyllique, et pourtant, je vivais dans un royaume privé de toute clarté ! Phyrisa, vous le devinerez donc, est ma terre natale, celle d’où je viens, et celle que je ne regretterais jamais.

Maintenant que vous connaissez la base de mon histoire, laissez moi donc vous raconter les passages les plus importants de ma vie, ceux qui ont fait de moi le révolutionnaire que je suis aujourd’hui ! Et tout commença lors de mon dixième anniversaire, depuis dix ans, je ne cessais de souhaiter au fil des années que le soleil fasse son apparition, que le royaume guérisse de ses diverses maladies. Au fil des dernières années, l’économie de Phyrisa se relevait, néanmoins, l’état du royaume laissait quelque peu à déplorer, et même si mes parents, eux, gardaient espoir qu’un jour notre royaume retrouve sa clarté d’autrefois, moi, encore enfant, je commençais déjà à perdre cet espoir que je tenais depuis ma plus tendre enfance. Mes yeux de gamin ne voyaient pas les vrais problèmes, je ne voyais que la couche extérieure, et non intérieure, je ne pouvais pas tout comprendre, mais je pouvais déjà me remettre à rêver d’un monde où tout irait mieux, ou ce gouvernement que je détestais de plus en plus serait aux pieds du peuple, rendant des comptes ! Je ne faisais que constater les malheurs d’un peuple muet, d’un peuple aveugle et ignorant, comment pouvais-je alors agir alors qu’on ne me disait rien ?! Sans même l’envisager, le lendemain de mon dixième anniversaire, je fis la rencontre d’un Homme que je n’oublierais jamais, malgré la misère de ce monde, son sourire ne disparaissait jamais, je n’avais jamais vue quelqu’un de tel auparavant, et idiot que j’étais, cela me rendait heureux. Les paroles de cet homme restèrent graver dans ma mémoire, et même si aujourd’hui je ne suis plus le même, je sais que si j’avance, c’est pour suivre cette voix qui me guidera tout au long de mon existence, il me dit alors avant de quitter le royaume : Si les Hommes continuent à vivre avec une telle maladie, alors ce monde en sera la victime … Ces mots m’avaient directement interpellés, une telle phrase avait éveillée en moi cet instinct de survie que j’ai aujourd’hui, cet instinct qui me pousse à trouver un remède pour le peuple de cette Terre, un vaccin contre le malheur !

Peu de temps après son départ, je me mis à m’intéresser de plus prêt à cette politique du gouvernement, à la justice de la marine, et aux mystères de la vie. Je partais sur une voie tout autre que celle de mes prédécesseurs, une voie de libération, de paix.


Chapitre II - L’âme d’un révolutionnaire

« Pillions, mettons à feu et à sang cette île qui ne cesse de pourrir à cause d’un souverain ignorant !!! » l’homme criait, une foule l’entourait, une arme à la main, je voyais en cette personne le mal. Cela faisait maintenant 6 ans que j’espérais pouvoir me sortir de ma propre misère, et en voyant cet homme appelait à la révolte notre peuple, je ne pouvais m’engager de sentir comme un sentiment de haine grandir en moi. Comment cet individu pouvait-il se dire sauveur de ce royaume, si sa seule option était de le réduire en poussière pour anéantir la misère l’encombrant depuis des siècles ? Très bonne question, néanmoins, je voyais en ses paroles un signe pour débuter ma vie, pour commencer quelque chose, pour recadrer cette populace si ignorante.

Le soir même, une petite armée rebelle entama les préparatifs, commençant alors à s’attaquer au marchant, ces personnes qui se prétendaient des révolutionnaires ne faisaient que profiter du manque de sécurité, la marine, elle, se faisait dépasser par les événements malgré de multiples précautions prises. Moi, encore adolescent, je décidais de prendre les armes, non pas pour suivre des criminels se donnant une fausse image, mais pour me faire entendre, pour que ma voix perce alors les malentendus entre ce royaume et les militants. Avant tout, je me portais garant de la sécurité de mon logis, de celui de ma famille, mon père, lui, contestait ma décision, mais j’étais persuadé de faire le bon choix, d’être la personne ayant les capacités pour faire cesser tout cela. Quittant l’habitation, je me mis sur les traces des militants, de mon jeune âge, je portais fort bien le kimono, ainsi que le katana, je me voyais à l’aube de mon apogée, de celle de mon histoire, me frayant chemin jusqu’à eux, j’eus le malheur de combattre … La vue du sang, à cette époque, m’horrifiait quelque peu, tuant des abrutis ne comprenant rien à la vie, mais étrangement, plus je voyais du sang couler, plus je me sentais fort, plus j’étais assoiffé de victoire ! Mais …
« Petit freluquet ! Comment peux-tu t’opposer à la libération de notre royaume ?!! » l’individu m’interpella, me conseillant de cesser mon excès de folie, de mettre un terme au projet que j’avais, mais il se mettait un doigt dans l’œil, je ne pouvais tirer un trait sur mes objectifs, j’étais celui qui allait rendre une conscience au peuple perdu de Phyrisa ! « Moi, un gamin ? Mais vous êtes sérieux ?! Ne voyez-vous pas qu’au lieu de libérer notre pays, vous ne faites que l’enterrer plus bas que terre !!! Ce n’est pas une révolte … c’est … c’est un massacre !!! » Des larmes coulèrent alors le long de mes joues, si émotif que j’étais, mes sentiments l’emportaient sur mes actes, mais je ne demeurais pas moins convaincu que je défendais une juste cause. Le citoyen chargea en ma direction, et se fut le visage recouvert de sang que ma lame vint à traverser sa gorge, le privant de la parole, cela devait cesser …

Au fil des heures, je sentais mon caractère s’endurcir, je devenais un être de plus en plus ignoble, mais je gardais cet objectif de mener à bien une révolution potable et durable, sur un temps égalant l’infini, l’éternelle paix. Continuant ma route, je finis par tomber sur l’individu à l’origine de cette révolte si brutale,
« Comment … Comment un Homme tel que vous, ayant bercé notre époque dans un espoir de survie, peut se laisser aller à la débauche sous une forme aussi violente. Je ne peux m’imaginer laisser notre royaume périr de la main de l’un de ses citoyens … » entamant alors un combat acharné, je sentais la douleur m’envahir, je ne pouvais ignorer mes précédentes blessures, ce bras commençant à perdre de sa force, mes jambes engourdis par les coups donnés … Je me demandais alors se qui me tenait debout, mes forces me quittaient, mes jambes commençaient à se plier au fur et à mesure que Stark assumait mon arme de coups. Dégageant sa lame de sur la mienne, je finis par lui asséner un coup à l’épaule, malheureusement, je n’y mis pas assez de force pour parvenir à l’immobiliser, tant bien qu’il finit par me rendre le coup, me mettant alors à terre !

Ma respiration se faisait de plus en plus lente, mais je m’accrochais à la vie, je ne pouvais sans doute pas mourir maintenant ! Tentant de prendre mon souffle, je fis une dernière déclaration avant de perdre connaissance,
« Si seulement vous compreniez que notre royaume souffre … Que même vos actes ni changeront rien, alors peut être pourrions-nous relever … la … la tête … et trouver … une meilleure solution. ». Après mes paroles, j’ouvris de nouveau les yeux, pour moi il s’était écoulé quelques secondes, mais dans la réalité, il s’était écoulé une semaine avant que je puisse reprendre connaissance. A mon plus grand soulagement, lors de mon réveille, je pu constater que j’étais encore en vie, que notre village n’avait pas été détruit par les militants avides de destruction, non, tout était encore là, même le ciel, qui lui, ne laissait toujours pas passer une once de lumière.

On m’expliqua plus tard que la marine avait réussie à remettre à leur place les rebelles, que malgré les dégâts causés, le village n’allait pas continuer à se dégrader, j’étais, dans un sens heureux d’entendre cela … Mais depuis cette nuit là, je constatais que mes forces étaient moindres, et qu’il me fallait un nouvel appui sur lequel poser ma main afin d’en faire mon atout. Je comprenais mieux désormais ce que j’avais à faire maintenant, il me fallait quitter le royaume pour voir au-delà et le laisser, afin d’y revenir plus fort que jamais pour y répandre un message de bonne augure, pouvant soigner les cœurs malades des villageois. Moi, Mugen, j’avais le devoir de renverser ce système chaotique et de reprendre en main ce monde à l’aide d’autres révolutionnaires afin d’y instaurer de quoi rendre une paix durable, quelque soit la manière dont elle sera apportée.


Chapitre III - Le prémices d’un long voyage

Aujourd’hui, je suis devenu un révolutionnaire, et j’espère pouvoir narrer au long de mon existence les faits m’ayant ouvert les yeux, et en parlant de cela, peu après mon départ de Phyrisa, j’appris que le royaume continuait de sombrer. Mes parents sont aujourd’hui mort, et le royaume sous la coupe d’un roi sans scrupule, se permettant de faire des pactes avec la marine afin de faire régner une terreur au sein du royaume englouti par l’ombre qui s’accapare tout signe de clarté.


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MessageSujet: Re: Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...   Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... EmptyJeu 25 Oct - 11:05

Hellooooooww Very Happy Bienvenue ^^

J'ai beaucoup apprécié ta fiche , ton histoire etc , j'aime beaucoup ton style d'écriture *_* J'ai pas vraiment de remarques négatives à faire...
Je pense tu peux passer un test pour devenir Commandant Smile

Je te le donne le plus tôt possible Wink
Erza~
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MessageSujet: Re: Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...   Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... EmptyJeu 25 Oct - 21:31

Merci (:
J'attends donc le test rp Wink
J'ai pas mis de partie avec le Gura Gura no Mie, vue que je ne savais pas si j'allais l'avoir ou non ^^
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MessageSujet: Re: Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...   Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... EmptySam 27 Oct - 0:56

Pour le grade on en parle encore avec le staff , je peux pas donner de confirmation encore malheureusement , mais voici ton test ^^

Citation :
Avec quelques autres rebelles , le chef de la révolution te charge de récupérer des documents secrets de la marine( Ces documents se trouvant dans une malle qui se fait transporter en train de Water Seven à Enies lobby). Tu dois donc les récupérer avant d'arriver dans cette base du CP9.Pour les récupérer tu disposes de tous les moyens possibles , sachant que de puissants marines et gardes de corps protègent les documents.Un minimum de 60 lignes te sont demandées.

Bonne chance Smile
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MessageSujet: Re: Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...   Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... EmptySam 27 Oct - 10:05

Voici le test rp, un peu long :S Désolé ...

Je ne me sentais pas vraiment à l'aise, face à notre chef, je sentais qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, une chose dont j'allais devoir prendre les responsabilités, le fixant, je finis par soupirer avant même qu'il ne prenne la parole … « Mugen, j'ai une mission pour ton groupe et toi-même, dans peu de temps, un train qui se rend au quartier général du CP9 va passer, et j'aimerai que tu te rendes sur leur route pour intercepter le convoi … Et récupérer les documents top secret qu'ils détiennent. Naturellement, je mets à ta disposition tout ce qui pourra t'y aider, même si je ne pense pas que cela te soit nécessaire ! » M'ébouriffant ma chevelure rousse, je le fixais, oui, il était vrai que je n'avais nul besoin extérieur que celle de mes troupes, nous étions assez puissant pour nous occuper de se fameux convoi, peu importe ce que la marine avait à cacher, je me savais suffisamment puissant pour m'en occuper. Peut être étais-je bien trop optimiste, ou trop téméraire, mais si notre chef m'estimait à ce point, c'était que je pouvais m'en occuper moi-même. Peu après notre conversation, je finis par partir, lui laissant comme dernières paroles avant de m'en aller remplir ma mission « Ne vous inquiétez pas, cependant je ne garantis pas la propreté du travail, comme vous le savez, on me connait pour tout dévaster derrière mon passage … Mais ne vous inquiétez pas, vous aurez le droit à une lecture sur du pur noir sur blanc ! », riant quelque peu, je finis par quitter notre base, et fort heureusement, nous étions déjà sur Water Seven, cependant, nous prenions du retard sur le train, il nous fallait donc nous presser à nous rendre sur le chemin du convoi pour l'intercepter. Ayant pour monture des chevaux, nous nous mimes en route pour les railles du train de Water Seven. Notre course fut brève à mes yeux, une petite demi-heure à tout casser et nous étions sur les lieux où régnait un silence morbide, néanmoins, la clarté que nous offrait le soleil m'était bénéfique pour accomplir ma tâche qui allait sans doute être ardue avant de m'être facile.

Le plan était simple, comme à mon habitude, mon bras droit, Akira, connaissait les directives, nous étions dix, peu nombreux, mais tous utiles à ce que nous manigancions, le premier groupe, dirigé par Akira, se situait de l'autre coté du passage, planqué derrière les arbres. Oui, effectivement, cette voie ferrée était entourée d'une nature abondante, et c'était la que je me sentais à l'aise, dans un terrain aussi vaste, il me serait bien plaisant de faire des ravages sans qu'on le remarque vraiment. Akira et les quatre révolutionnaires attendaient le signal, c'est à dire l'arrêt complet du train. Oui, je sais, cela paraît invraisemblable qu'un convoi aussi important s'arrête si subitement, mais à l'aide de ma capacité, j'avais saisis ma chance en rasant un morceau du passage, laissant alors un simple creux entre les deux voies maintenant séparées l'une de l'autre. Rejoignant mon groupe, je fis passer un message à Akira, désormais, il fallait attendre le train que nous entendions déjà arriver,
« La routine, il y a quatre wagons d'après nos informations, va savoir dans lequel les documents se situent ... » C'était là le problème, nous savions exactement le nombre de wagons, mais sans savoir dans lequel se situaient les documents, néanmoins, nous n'allions pas tarder à le savoir., je n'étais pas le genre de révolutionnaire à me laisser abattre pas le nombre d'adversaire, j'étais réputé pour être Fear, la peur de mes adversaires, depuis ma plus jeune enfance, la noirceur de mes adversaires était mon atout majeur !

Entendant alors le train arriver de plus en plus en notre direction, je fis signe à mon bras droit de se mettre en position, dès lors que le train serait arrivé, alors sa troupe serait dans l'obligation de se mettre hors de porté des dégâts que je pourrais faire. Emon, l'un des Hommes en qui j'avais le plus confiance, se hâta à se reculer avec les trois autres hommes qui étaient avec nous. Fixant le chemin de fer, je vis le train ralentir face aux railles rasées, souriant, je vis une dizaine de marines sortir du premier et du second wagon, pour moi, cela signifiait que les deux premiers ne contenaient pas les informations que j'étais censé ramener. Oui, cela paraissait évidant, si ils avaient contenus les dossiers, alors ils ne seraient pas vide aussi rapidement. Me relevant, je sortis du paysage verdâtre qui me camouflait, je n'avais aucune crainte vis à vis de mes ennemis, eux n'étaient que des subalternes, ils n'étaient pas à la hauteur face à ma troupe. Sortant, je me mis à découvert, serrant le poing, je frappa l'air face à moi, fracturant alors le paysage en face de ma personne, les deux wagons se mirent à voler en éclat, s'éjectant à quelques mètres plus loin, et soulevant un nuage de fumé incroyable, les marines présents furent emportés avec le choc qui souleva les deux wagons, déclarant ainsi un état d'alerte au sein des marines restants dans l'enceinte du train, désormais, celui-ci ne pouvait plus avancer. Un fier sourire au visage, Akira envoya, ainsi que sa propre personne, son groupe de révolutionnaires présents à ses cotés pour cerner les sorties gauche du train.

Dégainant mon katana, je rejoignis mes hommes, constatant alors qu'une nouvelle troupe de marines sortit des deux wagons restant, je ne voyais nullement un chef parmi eux, et cela me navra, la marine ne m'estimait donc pas assez puissant pour affronter un chef d'armée, un chef de troupe, tout comme moi. Je fus alors très mécontent de cette constatations, une aura noire prit possession de ma silhouette, m'avançant vers cette bataille qui commençait à se livrer, je ne fis que poussière du peu d'adversaire que j'eus à rencontrer. Mon sabre, à l'aide de l'aura qui l'englobait, brisa les os des matelots dont je croisais la route, me frayant un chemin vers la porte de l'avant dernier wagon, je fis signe à Emon de m'y rejoindre, pourquoi ne pas parlementer un peu avant de les tuer ? C'était là une belle occasion de faire de mon nom un nom populaire au sein de ce monde, afin de montrer au monde à quel point, nous, les révolutionnaires, étions accrochés à nos convictions, et à notre vision du monde et notre goût à la vraie justice, au réel changement. Alors que je pénétrais le wagon, je fis disparaître l'aura créée par mon pouvoir, Emon me suivit sans faire un bruit, et je fus alors confronté à un dilemme, je me situais exactement dans le wagon contenant les dossiers importants, et je l'appris en voyant trois hommes, debout, à la carrure importante, s'opposant à mes projets.


« Voici donc le jeune freluquet qui ose perturber notre mission … Tsss … Mais c'est une blague ma parole, un si petit gamin est capable d'un tel grabuge ? Ce n'est pas avec des explosifs que tu vas nous impressionner gamin, tu n'es qu'un petit rêveur à la solde d'une quête sans avenir !!! » Les trois hauts gradés se mirent à rire en éclat, ainsi ma taille, à deux têtes prêts de la leur, ne semblait pas les faire trembler, si bien que mes capacités étaient réduites à la comparaison de quelques explosifs. Emon, lui, prit un air sérieux, lui savait de quel bois je me chauffais dans de pareilles conditions, lui, tout comme Akira, savait comment je pouvais être quand on me réduisait au rang de simple freluquet de bas étage. « Benjiro, Kin, je vous laisse vous charger des deux branleurs, je ne vois pas l'utilité de choper une simple courbature en les assommant ! » Les deux gorilles nous chargèrent, les deux armés d'une épée imposante, qui devait être bien lourde pour qu'ils ne soient pas aussi vif que je le pensais. Chargeant mon poing d'une aura blanche, contradictoire à l'aura précédente qui me possédait, j'assénai alors un coup violent sur le torse de mon adversaire, lui broyant alors quelques cotes du aux effets des tremblements qui devaient désormais s'emparer de son être. Le lançant au sol, je m'avança vers mon dernier ennemi, Emon, lui, semblait avoir un peu plus de difficultés, mais retenait avec grande conviction le garde qu'il combattait tandis que je me chargeais du dernier.

« Comme ça, je suis un branleur, une raclure n'est-ce-pas ?! Moi, celui que l'on nomme Fear, qui inspire une crainte dans l'oeil de ceux qui sont mis en garde, moi je suis un freluquet ?!!! » Une nouvelle scène débutait, celle d'un combat qui allait m'opposer à un vice-amiral, je sentais en moi un grain d'adrénaline pousser en mon être, une rage m'envahissait, une goûte de sueur glissa de mon front jusqu'à mon menton avant de tomber de celui-ci. Lui garda un air sérieux, cependant il semblait un peu plus méfiant que durant les quelques dernières minutes, avait-il saisi l'étendue de ma force ? Ou craignait-il simplement de se froisser la manche en parant l'un de mes coups ?! Je ne pouvais plus attendre, d'une course nonchalante, je vins lui porter un coup bien chargé au niveau de ses abdominaux, malheureusement sans succès présent … Je ne lui fis pas une fracture, juste une marque que je vis avant qu'il ne m'empoigne et me fasse traverser le mur du wagon, me retrouvant alors à terre, je ne perdis pas de temps à me remettre debout, mon dos fut parcouru d'une brève douleur avant que je puisse me remettre complètement droit. Je n'avais pas frappé assez fort à se que je pouvais constater, mon pouvoir n'était donc pas encore à son apogée et je ne pouvais donc pas encore l'utiliser dans toute sa splendeur, néanmoins, je me savais assez puissant pour battre cette vermine qui se prétendait défenseur de la justice de ce monde.

Englobant de nouveau mon corps de mon aura meurtrière, je fis de mon corps l'arme ultime dont je disposais à présent, le vice-amiral du nom de Reizo, les marines restants l'appelèrent ainsi, comme-ci il représentait un symbole de héros, celui qui allait apparemment me vaincre. Mes troupes se battaient encore, trois hommes étaient à terre, gravement blessés et cela me servait de motivation pour les venger, mon regard devint alors ampli de colère et de rage, je ne pouvais permettre à mes hommes de périr avant même d'avoir vue notre monde se renouveler une nouvelle fois afin d'y voir un monde de paix réel et éternel. Serrant les dents, je fis face une nouvelle fois à Reizen avant de le charger, tout comme lui me chargeait avant même d'empoigner son sabre, son regard reflétait le mien, à la différence que lui ne servait pas la bonne cause. Rassemblant la totalité de mes forces, je lui porta un nouveau coup, cette fois-ci, en ciblant son cœur afin de l'atteindre de la meilleure manière qu'il soit, mais malgré mon coup, je reçu sa lame sur mon bras gauche, qu'il embrocha partiellement, sans pour autant me privée éternellement de son utilisation. Parallèlement, je sentais ses os se briser avant de percer sa cage thoracique, sentant les os de celle-ci griffer mon poing, c'est alors que l'aura qui englobait mon corps se concentra sur me poing, faisant alors éclater un souffle puissant qui fit quelque peu trembler la terre, renversant mes hommes, ainsi que ceux de la marine, à terre.

« Désormais, avant de juger une personne sur sa personne physique, vous prendrez conscience que cette personne peut détenir une force titanesque dans un corps entretenu normalement. Je ne suis pas un freluquet, mais un révolutionnaire qui donnerait sa vie pour ce monde !!! Ce que peu de marines ont le courage de faire !!! » Toussant, je sentais la douleur de mon bras gauche s'éveillait, celle-ci n'était pas moindre, mais Emon avait réussi à immobiliser l'officier contre qui il luttait. Marchant tout en retenant cette douleur presque insoutenable, je réussi à rejoindre le wagon, et suite à l'aide d'Akira, je vins prendre possession des documents, j'avais grand mal à me tenir debout correctement, aussi puissant que je pouvais être, je restais néanmoins humain, et combattre un vice-amiral n'était pas aussi facile qu'on pouvait le penser. Les marines de bas étage se mirent en repli, au départ, je pensais que c'était du au fait que j'avais terrassé leur chef, mais, durant que je descendais du wagon en faisant un saut léger, je vis le vice-amiral se relever. Mon bras gauche trembla sous la douleur, mais je sentais comme quelque chose d'étrange, comment pouvait-il encore se relever avant que l'avant de sa cage thoracique était détruite sur la partie de con cœur …

« Tsss … Oui, un freluquet ! Pour ta gouverne gamin, je ne suis pas un simple Homme, oh que non !!! Mon cœur est d'acier, car autrefois on me la façonné de manière à ce que je survive à un tel assaut, je suis en parti cyborg, un prototype, un pacifista hors du commun … » Mes yeux s'écarquillèrent, tout comme ceux de mes compagnons, je comprenais mieux maintenant la crainte des siens, moi qui était un monstre, lui l'était bien plus que moi. Soupirant, je fis abstraction de mes douleurs pour me tenir bien droit face à lui, un cœur aussi dure que le sien allait me mettre des bâtons dans les roues, c'était un pacifista sans pouvoir particulier, il devait être un prototype pour perfectionner leurs armadas ! « Akira, Emon, ordonnait à notre troupe de s'écarter le plus vite possible, je ne garantis pas votre survie si vous restez dans les parages, je vais tenter un coup moins aimable que le précédent … » C'était la l'occasion en or de l'achever, néanmoins, je n'allais pas me relever indemne de ce combat, mon bras gauche allait devoir surement supporter un peu trop longtemps cette douleur que je ne cessais de tenter d'oublier.

Reizen me fixa, un grand sourire aux lèvres, du sang coulant le long de son torse, de son corps, il souffrait lui aussi, mais posséder un cœur à l'épreuve de la douleur physique. Une nouvelle aura, celle-ci rougeâtre, se chargea d'entourer mon poing droit que je serrais fermement avant de laisser le vice-amiral me charger, et quand celui-ci fut à bonne distance, je lui fis part de mes plus plates condoléances avant de lancer mon attaque la plus dévastatrice,
« DESTRUCTION OF THE SPACE !!!! », sans même que mon poing ne l'atteigne, son corps commença à s'écraser sous la pression de ma force, dégageant alors une foudroyante pulsation d'air, accompagnée d'une pression écrasante, dévastant la nature se trouvant derrière le vice-amiral avant de séparer le haut de son corps, du bas de celui-ci. Essoufflé, mes jambes fléchirent avant que je ne me retrouve à genoux au sol, constatant l'étendue des dégâts, mes deux plus fidèles alliés vinrent me relever, tandis que le reste des marines, si peu puissant qu'ils étaient, prirent la fuite en chemin contraire de leur train afin de rentrer. Me faisant monter sur mon cheval, parcouru par une immense douleur, nous nous rendîmes nous aussi à Water Seven, par un chemin que nous gardions secret afin de ne subir aucune interruption.
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Erza Scarlet
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MessageSujet: Re: Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ...   Kurosaki Mugen - Le " Happy End " n'est qu'un fantasme ... EmptyDim 28 Oct - 11:15

Ok ok ok Very Happy J'ai déjà fait mes compliments incb Wink Je valide bien sur Smile
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