Les Kidd’s pirate était encore à bord du navire. Cela faisait au moins une bonne semaine qu’ils étaient en mer. Le second du navire était dans sa chambre en train de faire on ne sait quoi. D’ailleurs personne ne sait jamais ce qu’il fait lorsqu’il est dans sa chambre. Mystère. Eh bien tout simplement il médite. Vous croyez peut-être qu’il faisait des choses digne d’un psychopathe? Ca aurait pu être possible… Mais non. Après tout Killer est avant tout un bretteur! Même si son style de combat ressemble plus à de l’assassinat… Mais bref!

Bientôt le navire accosta sur une petit île d’East blue. Le second daigna sortir de sa chambre. Toujours vêtu avec sa chemise à moitié ouverte, ses faux lames à chaque poignet, et pour finir son casque à trous cachant son visage. Son capitaine adoré dit qu’il resterait jusqu’à demain et partirait à l’aube. Il devait faire le plein de provisions et aussi attendre le chargement du log pose. Le second hocha de la tête comme tout les autres. Puis il quitta le navire. Sous son masque il y avait un air blasé. Tout était si banal depuis quelques semaines. En plus cette fois lui et l’équipage n’allait pas faire de massacre ici. C’était une petite île alors où était l’intérêt de pillé? Nulle part justement. La seule activité qui s’offrait à notre homme c’était la promenade? Si il était là autant visiter les lieux. Qui sait peut-être y avait-il des choses intéressantes à explorer? Il n’espérait pas trop parce que appart un village et des champs ça s’arrêtait là. Tant pis pas le choix. En ce moment les autres devait être à une taverne. Enfin « comme toujours » pensa l’homme soupirant sous son casque.

Mains dans les poches, il arpentait la ville. Les villageois le regardait bizarrement En même temps quand on porte un casque, qu’on a des faux lames pour armes et une allure froide en prime… Généralement ça n’apportait rien de bon. Mais ce n’était pas pire que ses collègues métalleux qui eux dépasser largement le mauvais goût question vestimentaire.
Bientôt il quitta la place du village et le village lui-même. Il faisait beau les oiseaux chanter et un petit paradis niaiseux à souhait s’offrait à lui. « Vivement qu’on s’casse » pensa-t-il blasé et surtout ennuyé. Malgré qu’il paraisse toujours neutre et déconnecté de ce monde il aimait l’action et franchement tué des lapins c’était pas son tripes! L’homme soupira une énième fois, marchant de plus en plus lentement. Dès qu’il aurait terminer cette visite des lieux il se promit qu’il retournerait au bateau. Là bas, le blond, resterait enfermer et n’aurait plus à voir ce paysage chatoyant remplie de douceur. Trop écoeurant.
Et c’est sur ses pensées pleine de positivités et joyeusetés qu’il continua son chemin. Jusqu’à…

Eh bien jusqu’à ce qu’il se fasse écraser par une masse de poids peu importante. Sous le coup son masque tomba, et lui fit sonné. « WHAT?! » Aurait il eu envi de crier. Mais son calme et passivité légendaire font qu’il ne dit rien. Il était encore bien abasourdi et il ne remarqua pas que son visage était à nu. Quelques secondes plus tard il était prêt à se mettre en garde, une attaque ennemi étant possible. Mais une voix féminine et une paire mammaire fort généreuse l’en dissuada. La personne devant lui était une blonde plutôt jolie, ses camarades eux ce serait sûrement cru au paradis. Lui non, il répondit calmement à la jeune femme en se relevant.

-Ce n’est rien. Ca arrive à to…

Il s’arrêta dans son élan. Non ça n’arrivait pas à tout le monde tomber d’un arbre écrasant par la même occasion quelque un. Bref il remarqua qu’il ne portait plus son casque et que la jeune femme pouvait voir cette immonde cicatrice sur son visage. Ni une ni deux il le reprit et regarda la femme l’air de dire « Tu n’as rien vu ou t’es morte ». Un regard de killer en somme (jeu de mot pourri). Puis il le remit cachant son visage. Encore une fois il se retourna en direction de la jeune femme, ce n’était pas son genre de faire connaissance. En général si quelque un lui avait fait ça il l’aurait trancher mais là… C’était une blonde canon et il s’ennuyé à mourir. Deux bonnes raisons pour dire.

-Killer et vous?

Bon soit la jeune femme partait en courant effrayée soit euh elle restait tétaniser. Après tout un type qui veut qu’on le nomme Killer… Ca n’a rien du bon samaritin. Fallait se douter rien qu’à son style vestimentaire que c’était un pirate. Et généralement un pirate sa faisait fuir les gens. Et les femmes sans défense… Sauf que cette femme en face de lui n’était pas sans défense et le pirate le serait sans doute bientôt.

L’homme attendait de moins en moins une réponse de la part de la jeune femme. Bon dès le départ il se doutait bien qu’il allait l’effrayer. Surtout avec le regard qu’il lui avait lancer précédemment. Pourtant elle ne s’en allait pas, partait, fuyait pas. Non elle restait là affichant un visage crispé. C’était moins qu’il ne crut. Pour une blonde elle n'était pas trop froussarde… Mais mieux valait pas l’ouvrir trop à ce sujet, sachant qu’il était mal placé pour faire des blagues pourries.

Bref, finalement la jeune femme dit son nom peu sûr d’elle. Leïla? Il y avait rien à dire dessus, sauf le fait que c’était un nom de fille.Killer hocha de la tête. Croisant ses bras remarquant que la jeune femme le détaille. Elle se demandait sans doute, le pourquoi du comment il portait un masque. Bah oui vu comment elle observer celui-ci c’était un peu, bien évident. Et puis ça ne l’étonnait guère. Combien de membres de son équipage on échafaudé une et unes idées, toutes plus grotesques les unes que les autres, pour qu’on le voit sans son casque? Tous, excepter le capitaine. Bon cette femme elle avait réussi en moins d’une seconde mais bref.

Après ça, l’homme ne savait pas pourquoi il rester planté ici. Il était prêt à partir et commença à marcher. Jusqu’à ce que … Eh bien jusqu’à ce qu’il se fasse pousser. Il se retourna vers la femme, s'il n’avait pas son casque elle aurait pu voir sa mine surprise mais ce n’était pas le cas. À l'instant il se demandait vraiment si elle était suicidaire. Cette Leïla avait vraiment de la chance, qu’il n’est pas le sang chaud comme son capitaine. Celui-ci l’aurait lobotomisé sur place, femme ou pas femme. Elle lui dit qu’il devrait rester avec elle pour la distraire. Et qu’en plus il n’avait pas le choix.
Notre homme casqué se retint vraiment de rire à cet instant. Lui Killer, dit le massacreur, n’avait pas le choix? C’était une blague? Rêver-t-il? Non, puisqu'il en resta tout de même bouche bée. Elle était sérieuse. Notre homme réfléchit. Lui aussi s’ennuyer.

Bon, jamais une jeune femme avait eu le cran de lui dire qu’il devait rester avec… Oui, c’était bizzard. Mais le sexe opposé avait toujours été un mystère. Au fond cette Leïla éveillait sa curiosité. Elle était amusante. Au final, Killer hocha de la tête signe qu ’il approuvait cette idée farfelue qui aurait pu causer la mort de beaucoup…
Notre homme continua donc sa route, sûrement suivi de la blonde. Il put entendre les oiseaux encore une fois siffler, chanter. Ce qui au fond le mettait sur les nerfs! Trop de calme, de vie paisible. Il comprenait mieux pourquoi cette Leïla voulait s’amuser un peu… Vivre dans trous paumé au milieu de nulle part ça devait être plus qu‘ennuyant . D’ailleurs il voulut le faire remarquer à la jeune femme.

- Ça doit vraiment être risible d’habiter ici. Appart voit des lapins et les oiseaux chantés, y a rien à faire.

Voilà, pour la première fois Killer exprimait ce qu’il pensait. Ce n’était pas son genre mais il compatissait. Il compatissait pour ce qu’il croyait être une pauvre paysanne… Difficile de savoir qu’elle était marine. Bref l’homme ne s’arrêta pas là. Bah quoi? Il s’ennuyait tellement alors pourquoi ne pas parler un peu… Au moins l’ambiance serait moins lourde. Et la jeune femme aurait moins peur… Enfin ça il s’en foutait encore mais pourquoi pas?

-C’est pour ça que je préfère la vie de pirate. Action, aventure et encore action.

Bon, il venait à l’instant d’avouer son statut de pirate. En soi c’était flagrant comme si ça allait être un marin ou encore un marchand de pacotille… Bref, il venait aussi de dire son amour de l’action. Parce que oui quand il exprimait ce mot on pouvait sentir une pointe de joyeuseté. Malgré ses airs passifs il aimait se battre et tuer… Bah c’était le second des Kidd’s pirate ça n’avait rien d’étonnant! Bientôt il put voir la plage. Pas étonnant vu comment le village est grand. Il s’y dirigea ne demandant pas l'avis de sa « camarade ».

Il put constater que la jeune femme s’arrêta net. Avait-il dit quelque chose de mauvais? Sans doute. Elle lui posa la question s'il aimait tuer des vies sans leur laisser le choix. Elle se mettait à lui faire morale? Killer n’était pas susceptible. Il ne prit donc pas la remarque de la jeune femme de façon négative. Au contraire, voir les différents points de vue, interprétations d’une personne sont toujours intéressantes.
Certes il n’allait pas nier que de tuer lui procurait une certaine euphorie.
Notre homme n’allait pas non plus niais le fait que des civiles étaient impliquées dans les combats de l’équipage. Killer n’était néanmoins pas aussi cruel que son cher capitaine. Bien évidemment que sous sa lame des vies « innocente » ont sûrement dû être arrachés froidement. Cependant, il ne s’en prenait généralement qu’aux autres hors la loi. Il ne savait pas quoi dire à cette femme qui semblait répugnée. Elle avait des raisons en même temps. On put l’entendre soupirer d’un air las. Passant une main sur sa nuque il massa celle-ci.

-Tout dépend du point de vue de la personne. Certes je suis loin d’être un enfant de choeur, j’ai commis des actes immondes qui font qu’on me qualifie d’ordure. Néanmoins j’ai l’honnêteté de passer pour ce que je suis vraiment.

Autant y allait franchement. Il reconnaissait sans peine qu’il était une pourriture. Sa dernière phrase quant à elle voulait parler de la marine. Car oui, bien mal, bon mauvais… La frontière était floue. Certains agissements de la soient disante « justice » étaient tout aussi comparables aux crimes du bretteur.
Cependant comme le disait celui-ci il était assez franc pour reconnaître le mal qu’il faisait. L’avis de la jeune femme l’indifférait totalement. Si elle croyait que lui Killer le massacreur était un saint elle se trompe. De par son passé. Pourquoi prendrait il la peine d’être bon? C’était un pirate ni mauvais ni bon. Il faisait ce qui lui plaisait que ses actes soient bon soit mauvais… Dès lors qu’il avait atteint le statut d'hors la loi tout lui était permis. Il n’allait pas s’en priver. Bref après ces longues réflexions il se dit qu’il était sans doute temps de partir.
Le second s’était assez amusé comme ça avec cette fille. Cette dernière allait s’en doute lui faire la morale, et Dieu sait qu’il pouvait s’en passer. Notre homme se doutait bien que cette réponse était sans doute peu acceptable. Mais celle-ci était sincère et franche en tout point. Et puis de toute façon malgré le fait que cette fille ait attiré sa curiosité… Notre blond n’avait pas envie qu’on lui rappelle c’est tords. Malgré qu’il soit prêt à partir il resta. Sado-maso? Il se le demandait lui-même. Mais bon autant voir jusqu’au bout l’avis de la jeune femme. En soit ça pourrait être intéressant, un peu…

Précédemment, il se disait que d’attendre la réponse de la jeune femme pourrait être intéressant. Il regrettait. Cette femme était une vraie furie! Elle était sur son dos, le « frappant » parce que oui c’était un grand mot vu la force qu’elle mettait dans ses coups… Même un piaf aurait mieux fait. Enfin elle lui répète des « ce n’est pas bien !! >> Et encore bien d’autres réponses qui étaient sans intérêt aux yeux de notre homme.

Ce dernier d’ailleurs tomba à la renverse à un moment. Évidemment il s’était laissé faire. Malgré le fait qu’on puisse le qualifier d’ordure il évitait de taper les femmes. C’était un homme avec un minimum de fierté! Enfin bref, il se releva comme si de rien était. Il n’avait pas spécialement envie de tuer cette fille quoiqu'elle l’est quand même renversé au sol deux fois. Les autres membres de l’équipage l’auraient déjà décapité. Mais notre homme maqué trouvé qu’elle avait un certain courage qui l’intrigue.

Enfin il constata que celle-ci se releva et tous deux remarquèrent le changement de temps, soudain. Il pleuvait. Le ciel était assombri et un ciel grisâtre fit son apparition. Ça lui rappelait de vagues souvenirs. Mais il laissa bien vite sa mélancolie de côté. Les blessures du passé ne devaient plus s’ouvrir, il ne voulait plus penser à cela. Mais au contraire, une blonde aux formes désireuses ne l’aida guère.

Qu’y avait de si bien en étant pirate? Beaucoup de choses. Elle parlait aussi de son sens de la raison et tout le tralala. L’homme n’avait vraiment pas envie de répondre. Bon, sûrement parce que dans un premier temps il ne savait pas quoi dire. Enfin si, mais il était trop paresseux pour gaspiller sa salive. Il put néanmoins constater que la pluie se faisait de mieux en mieux ressentir. Et une averse pouvait arriver à tout moment vu comment le temps se dégrader. Leïla d’ailleurs chercher en vain un abri. Dommage pour elle il n’y avait rien autour d’eux. Encore Killer avait son masque qui le protégeait à moitié. Oui, à moitié vu que sur celui-ci il y avait des gros trous… Et puis la blonde décida de s’asseoir en tailleurs et ce en plein milieu de la route. L’homme la jaugea pendant quelques instants. Puis inexplicablement un il eut un fou rire. Cela faisait depuis des années qu’il n’avait pas ri. Mais, voir cette fille « bizzard », s’asseoir dans cette position en attendant qu’il se passe quelque chose… Le blond n’avait pas pu s’empêcher de rire, certes en se « moquant » légèrement d’elle. Au bout d’une bonne minute il s’arrêta, étonné par lui-même. Alors ensuite, il alla rejoindre Leïla assit dans la même position, bras croisés. Puis il prit la parole de sa voix si calme :

-Avant toute chose être pirate c’est être libre. Nous sommes libres de faire nos propres choix. Le mot « règle » n’existe pas. J’admets que nous pouvons causer du tort aux civils… Mais ça ne se résume pas à cela. Nous voyageons et nous découvrons des contrées encore inexplorées. On se bat et s’amuse comme bon nous semble sans qu’aucun de nos camarades n’ait à nous juger pour diverses raisons. On m’a accepté comme j’étais et ça seul un pirate l’a fait.

Voilà il avait répondu à la question de Leïla. Sans doute parce que celle-ci l’avait fait rire.

Killer ayant terminer son discours, il attendit la réponse de la jeune femme. Celle-ci semblait analyser les paroles qu’il avait dit. Le blond se demandait ce qu’elle lui sortirait. Puis elle soupira en rétorquant :

<<C'est vrai qu'à la Marine on est pas trop trop libre, enfin ça dépend. >>

L’homme hocha dans un premier temps de la tête et en haussant légèrement des épaules. Et puis,
Un ange passa, puis deux… Un troisième arive. Le papa ange fit son apparition suivit de la maman et vient le tour des gran…Stop! Où est le bouton replay? *WTF?!* aurait eu envi de dire Killer. Ce dernier venait tout juste de se rendre compte de la phrase de la jeune femme. Il tourna sa tête au ralentit ,à la rencontre du regard de la jeune femme. Elle avait parler de la marine? Elle avait que quand on était à la marine on n’était pas trop libre? Elle avouer donc, qu’elle la blonde maladroite lui étant tomber dessus faisait partie du gouvernement? Il la regarda celle-ci avait ses mains sur sa bouche, le teint rougie. Elle se protégeait avec craignant sûrement une quelconque offensive. Certes celui-ci était bouche bée par cette révélation mais pas au point de la tuer. Et bien évidemment qu’il était étonné mais sans doute pas pour ce qu’elle croit. D’ailleurs il dit d’un ton presque inquiet :

-J’espère que vos supérieur vont bien… Parce que si ils ont tous des boulets qui tombent des arbres…

Lui en train de se moquer d’elle? A peine. Mais c’est vrai que si tout les marines étaient aussi « insouciant » que cette fille… En faite il n’avait pas trop envie d’en savoir plus. Mais imaginer cette fille en pleine mission le faisait rire intérieurement… C’état bien plus que drôle à son goût. Voyant qu’elle n’avait pas bouger ses mains encore il le fit à sa place. Finalement cette journée était bien plus intéressante que prévue. C’est pas tous les jours qu’on parle à un marine vu que généralement ils étaient trancher sous sa lame. Mais là c’était une femme intéressante et étrange à la fois. Alors il ne ferait rien sachant que ça ne lui rapporterait rien au final.

-Je sais que je suis loin de l’être aspirant la confiance mais quand même. Et ce n’est pas parce qu’on m’appelle Killer que je tue tout est n’importe quoi.

Dit-il d’un ton décontracté. Bon il croyait à moitié ce qu’il disait. Parce que qu’on on se fait nommer Killer y a des doutes.

Killer constata que la jeune femme prit un air triste. Il se demandait si c’était de sa faute. Après tout les relations humaines et lui… Ça faisait deux. Pourtant ces paroles étaient dites dans le but de rassurer la demoiselle. Soit, elle bizarre. Oui ça devait être ça! Et puis ce sale temps ne devait rien arranger. Lui même devenait mélancolique pas jusqu’à en être triste mais mélancolique. La jeune femme baissa la tête et s’excusa. Au fond cela surprit l’homme, la raison pour laquelle elle ne l’avait pas dit l’étonna moins. C’est sûr que tout porte à croire que lui Killer était un être sans scrupule tuant pour tous et n’importe quoi… Mais ce n’était pas le cas. Il dit d‘un air qui se voulait plus que sérieux :

-Eh bien, disons que j’ai longuement hésité entre te trancher la gorge sec ou te découper en morceaux. Mais, ma fainéantise a prit le dessus.

Il rit une fois sa phrase terminer. Killer aimait vraiment la taquiner cette marine étrange. Il était quasi-certain que sa plaisanterie allait la déplaire, mais de toute manière appart des choses puérils elle ne ferait rien. Et puis les minutes passèrent. Un blanc s’installa. L’atmosphère devenait lourd. Killer prenait souvent des initiatives pour son équipage, lors de combat et autres. Mais socialement c’était loin d’être sa encore. Alors ce fut Leïla qui prit la parole. Elle était intriguée de savoir pourquoi il le porter. Killer pour seul réponse soupira. C’était un point sensible très sensible a aborder. Même son capitaine évitait dans parler c’est pour dire. Il ne connaissait pas cette fille qui en plus faisait partit de la marine. Pourquoi perdrait-il son temps à lui expliquer? Il n’en savait rien mais elle ne sembler pas mauvaise… Certaine fois déballer ce qu’on a sur le cœur n’es pas une mauvaise chose. Pour sa part Killer ne l’avait jamais fait. Ce dernier soupira une énième fois, une voix intérieur lui disait de répondre à la question de cette fille. Il exécuta. Péniblement il prit la parole un ton à moitié ennuyé.

-Tu m’as vu tout à l’heure son masque, non? Je présume que tu as pu voir ma cicatrice bouffant ma joue droite. Celle-ci représente huit année d’Enfer. Je ne veux pas qu’on la voie, je ne veux pas la voir. C’est une marque du passé dont j‘ai honte.

Tout cela rester vague. Mais si ça lui chantait, la fille pourrait poser d’autre question. Il était d’humeur même si au fond c’est douloureux. Il se trouvait ridicule a penser cela. La douleur l’atteignait encore ça l’exaspérait. Après tout lui aussi était humain même si dès fois il en douté lui-même. Enfin bref après cela Killer se tût.